... Qu’ils soient Québécois ou non. Le terme « Québec » incarne donc pour Perrault le véritable dénominateur commun des Canadiens français. ...

Wake up mes bons amis!
... De plus, lors de cette même discussion, une étudiante québécoise affirme haut et fort son appartenance envers le Québec, ce que les Acadiens ne sont pas en mesure de faire pour le Nouveau-Brunswick : « Mon pays, c’est le Québec pis y’en n’a pas d’autre ...
... chapitre 1 | dénomination du pays • 25 Perrault propose donc de nommer le Québec avant de pouvoir le définir. Il préconise que les Québécois « existent » avant de pouvoir réclamer une nation souveraine politiquement. ...
... Pierre Perrault : homme de parole, Québec, Association internationale des études québécoises, 2011, p. 56. ...
... Fonds Pierre Perrault, P319/D/2, 9, Québec, Université Laval. 21. Anne-Marie Thiesse, op. cit., p. 71. ...
... L’idée de Perrault est de montrer que cette langue vivante est propre aux francophones du Québec principalement, mais aussi d’ailleurs. La langue d’un peuple, d’une nation, est primordiale pour conserver et construire son identité. ...
... que hors Québec. ...
... Le film entier se veut un avertissement pour les Québécois. Le message exprimé est que si les francophones du Québec ne protègent pas le français, ils seront écrasés socialement par les 26. ...
... Lors des grèves étudiantes de 1968, certains militants ont décidé d’aller porter une tête de cochon au maire de la ville de Moncton, symbole de son intransigeance envers les demandes des étudiants francophones. ...
... C’est vrai au Nouveau-Brunswick comme au Québec. Cette idée est transmise par Michel Blanchard lors d’un débat qu’il a avec d’autres étudiants sur cette question : « Au point de vue du peuple, le français, ça veut rien dire à part que vivre avec. ...