Wilbrod Bherer

Wilbrod Bherer

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... L’image de Québec, à cette époque, était la suivante : la basse-ville où l’on parlait en majorité français ; puis la haute-ville où la langue anglaise prédominait. ...

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... Ils ont une vision du Canada comme un pays tout entier alors que nous, nous la voyons sous l’angle de la province de Québec. ...

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... Sans porter de jugement comme tel sur le théâtre actuel, il semblait toutefois nostalgique à ce sujet : « Dans les années 1940, il y avait du beau théâtre à Québec. Des troupes étrangères y venaient. La Comédie française est venue quelques fois. ...

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... Comme nous l’avons vu, en 1964, il est même devenu président du conseil d’administration de l’Orchestre symphonique de la ville de Québec. ...

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... On ne retrouvait pas cela en ville. [...] Les gens avaient du plaisir. Pas riches, pas pauvres, mais heureux. ...

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... À la Commission scolaire de Québec, je me suis fait de bons amis, des gens très humains, très tolérants. [...] J’ai créé des liens chez Vickers, partout... ...

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... Bherer ne pouvant conduire, il se souvient être allé le chercher à Daytona en Floride, et d’avoir ramené son automobile à Québec. Ces deux hommes étaient proches l’un de l’autre. ...

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... En plus, quand vous êtes la femme du maire de la ville de Québec, allez donc vous chercher un emploi ! Elle ne peut travailler n’importe où, n’importe comment, n’importe quand. ...

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... Il n’y est pas seulement question du fait que la province compterait trop de municipalités, mais ce projet tente aussi de régler la problématique des villes-centres, comme Québec et Montréal. ...

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... l ’ homme en lui-même 409 dans les années 195038 n’est-il pas le même où le gouvernement injecte des millions de dollars pour revitaliser la basse-ville ? ...