Wilbrod Bherer

Wilbrod Bherer

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... Pendant leurs fréquentations, elle venait le prendre tous les matins, à sept heures moins quart, pour aller à la messe de sept heures. Elle l’emmenait ensuite déjeuner chez elle. ...

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... Elle aurait maintenant la vocation de loger des personnes en transition qui sont en traitements psychiatriques33. » Cette nouvelle et unique demeure, rue des Braves, respirait la joie, l’accueil, la sérénité. ...

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... Vers dix-sept heures, son principal collaborateur vint le trouver pour le mettre au courant des dernières tractations de l’affaire. ...

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... Il était conscient de ce qu’avait représenté pour lui cette opération subie alors qu’il avait déjà soixante-dix-sept ans. Il continua, me regardant droit dans les yeux : « On m’a fait quatre pontages. Quatre nouvelles voies de circulation du sang. ...

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... L’amitié, c’est plus important que la politique. » D’après lui, la façon dont on traite les hommes publics aujourd’hui est un non-sens : 19. Entrevue avec Wilbrod Bherer, 13 mars 1985, cassette no 2. ...

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... Il devenait alors fort difficile de scinder l’opinion émise du sujet traité. 2. Les entrevues ont eu lieu entre 1985 (il avait alors 79 ans) et 1996. ...

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... Il est préférable de souligner certains traits qui, à notre avis, l’ont caractérisé. M. Bherer nous est apparu comme un homme franc et vrai. On le reconnaît dans ses paroles, dans ses actions. ...

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... En ce qui a trait à sa vie personnelle, il préférait ne pas trop la partager. Il ne s’est jamais ouvert sur des désirs ou rêves qu’il aurait aimé réaliser. ...

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... Il l’installa d’une façon princière... « J’ai tout payé pour elle afin qu’elle soit bien traitée. » Par la suite, pendant cinq ans, tous les dimanches matin vers onze heures et demie, il se rendait visiter sa mère en compagnie de Françoise et d’Hélène ...

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... Traits caractéristiques de l’homme M. Bherer était un passionné de la littérature, de la langue et de la culture françaises. Il ne la trouvait pas facile, la langue française... ...