Nos livres font parler d'eux

Apparition du Nord selon Gérard Mercator (L')

Le jury a été particulièrement impressionné par la rigueur et l'originalité de l'ouvrage, la qualité de son écriture, de même que sa facture exceptionnelle.

Jury, Prix Hubert-Reeves

Chaque automne j'ai envie de mourir

37 textes immenses. 37 humanités bouleversantes. 37 cris sublimes qui, à chaque page donnent envie de vivre.

Grégoire Delacourt, Le blog de Grégoire Delacourt

Mouvement naturel des choses (Le)

L'écriture est alerte et la trame, comme la vie qui semble l'inspirer, en dents de scie. Il n'en demeure pas moins qu'on a envie d'accompagner le narrateur jusqu'au bout de cette étape de vie en espérant une fin heureuse, chèrement payée en émotions et en sentiments divers.

Jean-François Crépeau, Le Canada français

Aventures de Radisson, t.2 (Les)

Après le succès et le prix du Gouverneur général pour le premier tome, voici la suite des aventures de ce personnage historique remarquable. La vie de Radisson est, encore une fois, pleine de rebondissements et l’emmène en France, pour mieux revenir dans les colonies. On découvre dans ce roman un pan de notre histoire, peuplé de personnages flamboyants aux destins plus grands que nature. À découvrir!

Amélie Fournier-Gagnon, Coop Zone

Vivre la Conquête, tome 1

Un très beau livre, très agréable à lire et très intéressant qui nous permet de vivre la Conquête de l'intérieur.

Chantal Verville, Renaud-Bray Victoriaville

Vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune (La)

La vie dans les camps de bûcherons au temps de la pitoune est un document très visuel, facile à aborder et donc, tout public. Beaucoup de photos d'époque illustrent les différents travaux dans les camps et la vie quotidienne des bûcherons. Plusieurs annexes sont ajoutées en fin de volume. On y trouve de l'information diverse et variée, des statistiques, des chansons de camp, un menu et même quelques recettes d'époque!


Un très bon livre, bien documenté et captivant. Le bûcheron étant bien souvent au coeur de l'imaginaire québécois, tant dans les contes que comme personnage folklorique, il est très intéressant de remettre les pendules à l'heure et d'en apprendre plus sur la vie de ces hommes (et femmes!) des bois.

Geneviève Bolduc, Un thé à la bibliothèque

Saccades

Chacune des nouvelles de ce livre propose une ambiance et des personnages bien distincts. Pas de fil conducteur souligné à grands traits, à part peut-être un certain désir d'aller de l'avant, sans savoir si ce sera mieux ou pire. Mais entre ce chef qui peine à trouver son inspiration et ces jeunes soeurs qui tentent de revoir leur père alcoolique une dernière fois, on s'abandonne avec grand plaisir dans ce bouquet d'histoires né sous la plume bien tournée d'une auteure de Québec.

Julie Roy, Coup de pouce

Vertige des insectes (Le)

Maude Veilleux nous offre un récit troublant, une lente implosion d’un personnage qui vit le départ d’êtres chers. Au cœur de son appartement, Mathilde dépérit, remet tout en question. Au centre de cet univers, l’absence, qui se traduit par un secret qu’elle se retient de partager au départ et qui la consume tout au long de ce roman.


Cette déprime se glisse dans le texte, qui évite les clichés et la lourdeur des dérives émotionnelles qui l’agitent et la figent. Des émotions à fleur de peau qui, comme pour ses amis, laissent le lecteur en périphérie, incapable de percer la carapace dans laquelle se cloisonne la jeune femme. Ce premier roman d’une écriture fluide va à l’essentiel sans se perdre dans les méandres du pourquoi et du comment (ce qui déstabilise parfois, comme dans le mouvement final). La métaphore de la main de fer dans un gant de velours s’applique pour ce récit intimiste. Le résultat ne laisse pas le lecteur indemne.

Jean-François Villeneuve, La Presse

Vertige des insectes (Le)

Profondément émouvant, ce premier bijou de l'auteure ne saurait être plus unique et mémorable.


Le Vertige des insectes est un texte tout à fait singulier dans lequel Maude Veilleux confronte avec force le lecteur au désarroi de Mathilde. L'auteure nous fait passer par une grande gamme d'émotions, avant de nous laisser sur une impression puissante.

Jean-François Lebel, La bible urbaine

Hydro-Québec et l'État québécois, 1944-2005

La puissance de la poésie des mots choisis par Johnson montre à quel point l'importance de cette construction identitaire dans l'imaginaire québécois. Car l'identité d'une nation ou d'un peuple se bâtit essentiellement par des référents imaginaires, mais concrets, n'en déplaise à plusieurs qui souhaiteraient l'imposer par des slogans, des logotypes ou une Charte des valeurs. L'ouvrage de Stéphane Savard constitue un apport considérable, à cet égard, à une meilleure compréhension de ce que constitue l'imaginaire identitaire québécois.

Ianik Marcil, Le Huffington Post

Saccades

Le recueil est accessible. L'écriture de Maude Poissant est vraiment intéressante. Elle est capable d'éviter les clichés, de s'adapter à plusieurs personnages avec plusieurs niveaux de langage. C'est une découverte. Une nouvelle auteure qu'on va suivre.

Sophie Ginoux, CIBL (Catherine et Laurent)

Saccades

Un recueil de nouvelles qui rocke.

Marie-Ginette Guay, CKRL (Les Matins éphémères)

Saccades

Très joliment écrit. Très joliment raconté. C'est prometteur pour la suite. On a dévoré.

Yvon Paré et Jean-François Coulombe, La fin de semaine est à 7 heures (SRC Saguenay)