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La Maison de la littérature : écrire, lire, vivre…oui, je veux, je veux !

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Lors de son ouverture le 8 octobre dernier, j’étais en Louisiane. Par conséquent, j’ai manqué l’inauguration tant attendue de la Maison de la littérature. Hier, donc, en revenant chez moi du Centre Morrin, j’ai profité de l’occasion pour mettre les pieds pour la première fois au 40, rue Saint-Stanislas. Ce ne sera certes pas la dernière fois que j’exploiterai ce qu’offre cette nouvelle mouture de l’ancien Institut Canadien.

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L’on peut y :

  1. bouquiner dans sa bibliothèque ;
  2. visiter En toute liberté, son exposition ;
  3. assister à un spectacle, une rencontre, un lancement ;
  4. participer à un cercle de lecture ou à un atelier d’écriture ;
  5. travailler dans un cabinet d’écriture ;
  6. prendre une consommation en feuilletant des journaux ou des revues.

Les locaux sont sublimes, aérés, éclairés agréables. Deux escaliers en spirale ou bien l’ascenseur permettent de monter d’étage en étage ;

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Au rez-de-chaussée l’accueil, le café, la billetterie et une salle de spectacle pouvant accueillir jusqu’à 75 personnes en forçant.

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Au café/bar sur chaque table s’inscrit un court texte d’un écrivain ou d’une écrivaine d’ici. En voici un, d’Anne Hébert, qui me touche particulièrement: « Je ne demande pas où mènent les routes: c’est pour le trajet que je pars. »

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Au fil des mois, de nombreux spectacles et événements littéraires déjà programmés, les uns payants les autres gratuits, seront suivis par le public. Partout dans la Maison, sont exposées des œuvres du patrimoine littéraire du Québec. En plus de centaines d’œuvres et d’auteurs, des thématiques historiques et contemporaines sont mises en valeur, notamment sur l’écran géant suspendu au plafond où peuvent être projetés des extraits d’archives de Radio-Canada. À titre d’exemples, hier, moi, qui ne suis arrivé au Québec qu’en 1971, ai pu, sur grand écran, écouter Pauline Julien chanter en 1970 et visionner L’Osstidcho avec Yvon Deschamps tourné en 1968 !

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De plus, se trouve à la Maison la résidence d’un écrivain invité à séjourner pendant une période de deux mois. À l’heure actuelle, il s’agit du Parisien, François Matton dont l’œuvre est unique en son genre consistant en un mélange d’écriture et de dessin sous forme de haïkus graphiques réalisés à l’aide de crayons et d’aquarelle. Ils sont exposés sur les lieux. Matton sera suivi en décembre de Laure Morali, écrivaine d’origine bretonne.

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Les gens de Québec sont choyés d’avoir accès à deux formidables institutions pour la promotion de la culture qui s’avoisinent, la Maison de la littérature et le Centre Morrin, offrant, au cœur du Vieux-Québec, des services complémentaires ainsi que l’opportunité d’une coopération jusque maintenant inimaginable et inespérée. Un véritable « quartier littéraire » pour nous aider à mieux vivre par la lecture et l’écriture !