Nos livres font parler d'eux

Dévorante (La)

La Dévorante est un fort joli premier roman sans fausse pudeur et bien maîtrisé, d'une auteure qui a saisi l'essence précieuse de la création littéraire.

Suzanne Desjardins, Nuit blanche

Lettres à sa famille. 1803-1871

Ses lettres sont d'une humanité aussi séduisante qu'imprévisible.


Un chantier se ferme : grâce à l'indéfectible professionnalisme d'une petite équipe (Lamonde/Aubin/Blanchet), le Québec peut enfin presque tout savoir d'une de ses plus impressionnantes figures.

Laurent Laplante, Nuit blanche

À la hache et au scalpel

En parcourant ses textes, le lecteur constate que la plupart d,entre eux ont conservé une étonnante actualité. Les problèmes sociaux, politiques et économiques que vivait le Québec au temps de Filion et Laurendeau ne sont pas tous résolus. Loin de là. Journal d'idées et de combat, Le Devoir ne s résume pas à ses éditoriaux. Mais il est certain que ces textes constituent la quintessence de la réflexion qu'il offre à ses lecteurs.

Jean-Rémi Brault, Montréal en tête

Attaque de 1763 (L')

L'auteur a quand même conservé, durant 200 pages, toute sa lucidité et une juste réserve en rapportant les faits sans donner dans le pathos douteux. Ces qualités le placent au premier rang des sources importantes et fiables sur ce sujet.

Claude Le May, L'Ancêtre

Destins de pêcheurs

Très bien documenté. Très intéressant.

Mélanie Gagné, Mer et monde (SRC Est du Québec)

Fourrures et forêts métissèrent les Montagnais

Nelson-Martin Dawson appuie ses recherches sur "une exploitation maximale" des sources. Celles-ci vont des récits de Champlain aux registres de l'état civil en passant par la cartographie et l'étude des ethnonymes. Il procède également à des enquêtes généalogiques poussées permettant de suivre à la trace la descendance des unions métissées.


Cet essai soulève d'intéressantes questions sur les notions d'identités et de métissage.

Dave Noël, Le Devoir

Virilité en jeu (La)

Avec La Virilité en jeu, Janik Bastien Charlebois espère susciter des débats et des réflexions autour des différentes questions que soulève la construction de la masculinité et de la virilité, dans laquelle l'homophobie jouerait un rôle prépondérant.

Denis-Daniel Boullé, Fugues

Virilité en jeu (La)

La chercheuse conteste les thèses habituellement avancées pour expliquer cette homophobie (les hormones, la construction identitaire masculine, le refoulement) et retient plutôt la thèse d'un hétérosexisme socialement construit.

Louis Cornellier, Le Devoir

Virilité en jeu (La)

La Virilité en jeu veut donner une réponse à ceux qui estiment que l'homophobie des adolescents est naturelle ou propre à leur génération. En interrogeant des jeunes garçons, Janik Bastien Charlebois met à jour leurs représentations de l'homosexualité, de la diversité sexuelle et de la virilité.

Thibaut Temmerman, Être

Réinventer la démocratie

Au-delà du modèle particulier qu'il propose, M. Laliberté nous invite donc à penser la démocratie au 3e millénaire, et c'est sans doute son plus grand mérite.

Marc Ouimet, Journal Ensemble

Pour en finir avec le sexe

Elle nous a fait hurler de rire avec ses confidences de mauvaise mère. L'ex-mère indigne revient en force avec un ouvrage qui détonne - mais pas tant que ça finalement -, portant exclusivement sur le sexe. Car s'il est un sujet où le sérieux est généralement au rendez-vous, c'est bien celui-là. Alors à go, on se dit les vraies affaires, et surtout, on se permet enfin d'en rire !

Silvia Galipeau, La Presse

Depuis les cendres

Emmanuel Bouchard utilise une prose aux accents poétiques quelle que soit l'hésitation des personnages à se souvenir ou à profiter des lieux qu'ils arpentent. Phrases elliptiques ou longues et lentes rendent compte du réel et de l'imaginaire de ses héros. Le choix d'écrire un carnet de voyage est judicieux et convient à ce road story original où les kilomètres parcourus finiront par les mener au bout de leur quête respective.

Jean-François Crépeau, Lettres québécoises

Pour en finir avec le sexe

Un ouvrage qui dédramatise la sexualité en usant de beaucoup d'humour. Réalisé en collaboration avec l'illustratrice Iris, ce livre, à mi-chemin entre le magazine et la BD, est un règlement de compte avec cette chose qui nous met tant de pression dans la société.

Rachelle McDuff, Journal Métro