... Ce ne sera pas encore l’ouragan qui déferlait sur la ville aux belles années de Camillien Houde, mais on sent que le public montréalais a repris intérêt à ses affaires. ...
À la hache et au scalpel
... Le danger, c’est que Drapeau arrive à l’hôtel de ville avec un nombre insuffisant de partisans. Dans ce cas, son action serait partiellement paralysée. Il propose à l’électorat une liste de 33 candidats. ...
... Peut-être, mais alors que deviendrait la ville de Montréal s’il fallait que M. Asselin soit foudroyé ? Ce serait évidemment la banqueroute à brève échéance. Soyons réalistes. M. ...
... Les éditorialistes qui se sont penchés sur la question dénoncent les redevances ridicules que le Québec va recevoir, les villes fermées où les compagnies américaines sont roi et maître, les salaires payés aux employés qui sont en dessous du marché semble-t-il ...
... Québec leur a livré, moyennant une royauté fixe, des avantages extraordinaires : c’est sur un petit royaume que s’exerce leur souveraineté. ...
... Cela représente plus des deux tiers de la députation libérale fédérale qui siège à Ottawa et environ la moitié de la députation unioniste à Québec. ...
... des conséquences considérables pour la population du Québec. En agissant comme « des frères siamois », les deux grands partis s’entendent comme « larrons en foire » au sujet des grandes questions et des principaux enjeux qui concernent le Québec. ...
... Mais, il y a des raisons plus profondes qui font que le Parti libéral à Ottawa et l’Union nationale à Québec évitent de se donner des crocs-en-jambe. C’est qu’au fond les deux partis sont des frères siamois. ...
... C’est que sur ces questions on est pleinement d’accord à Ottawa et à Québec, dans les milieux libéraux et dans les milieux conservateurs. ...
... É d i t o r i a l n o 3 9 Sur l’influence et les dangers de la télévision ’entrée en ondes de Radio-Canada en 1952 marque les débuts de la télévision au Québec. ...