À table en Nouvelle-France, deuxième édition

À table en Nouvelle-France, deuxième édition

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... Dans les campagnes environnantes de Québec, les personnes âgées sont particulièrement friandes de l’eau-de-vie française. ...

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... Les propriétaires d’animaux se retracent dans chacun des quartiers d’une ville comme Québec. Les citadins disposent cependant d’un espace restreint. ...

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... La chasse à la tourte cause, et de loin, le plus d’agitation, surtout autour de la ville. ...

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... Dès lors, la hiérarchie des animaux du cheptel de Québec se lirait ainsi : bovins et, à bonne distance, porc et enfin mouton pour les quadrupèdes. ...

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... Les inventaires après décès des résidents de Québec indiquent une quantité moyenne de 47 kg de lard dans les garde-manger au cours du xviiie siècle, ce qui se rapproche sensiblement des quantités observées dans les donations rurales140. ...

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... Le pain vendu en ville, malgré la panoplie de règlements édictés, est souvent reconnu comme étant fort cher, quelquefois comme fort mauvais, parce que les boulangers trichent sur le poids, utilisent des ingrédients de mauvaise qualité ou encore créent ...

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... Dès la fin du xviie siècle, les résidents de la ville de Québec et de sa banlieue immédiate ont rejeté le maïs. Le maïs disparaît également de la carte de l’Hôtel-Dieu à la même époque. ...

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... le régime alimentaire urbain Artiste inconnu, Vente de poissons au marché de Québec, 1845, BAC, collection Winkworth, C-150732. ...

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... Et pourtant les cahiers de comptes du Séminaire de Québec regorgent de mentions de poisson d’eau douce, qu’il s’agisse de truites ou de poisson blanc (corégone), pour ne mentionner que ces deux espèces. ...

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... Par contre, le beurre d’importation, en provenance d’Irlande ou du pays de Galles, devient disponible dès les premières heures de l’occupation britannique à Québec, selon les annonces parues dans la Gazette de Québec. ...