... Afin de faire valoir le traité, Thomas King fut délégué en ambassade chez les Delawares et les Chaouanons, au nom des Six-Nations et des Sept-Nations84. ...
Alliance et dépendance
... C’est la première fois que nous nous Joignons à nos Frères les Anglais, et sommes désolés de dire nous n’avons jamais éprouvé de telles privations, et mauvais traitement des Français, ni une si vaine Campagne91. ...
... Les guerriers étaient traités comme du bétail et personne n’y pouvait rien. Ni Cacknawaga-Peter ni aucun chef de guerre. ...
... conclu avec vous à Kahnawake en l’Année 1760) vous tenez Prêts à nous Rejoindre, quand Je fais appel à vous, ce que Je ne ferai sans Raison suffisante et ensuite vous pourrez dépendre d’un meilleur Traitement : et cela Je désire que vous le communiquiez ...
... Par conséquent, si les ennemis refusaient de conclure la paix, les Sept-Nations devaient se « lever » et, à son commandement, punir ceux qu’il désignerait. Il reformula ses exigences : réunissez un 71 ...
... Mais, lui, il allait plus loin : tous ceux qui refuseront de se soumettre au traité et à la Chaîne seront jugés comme des détracteurs de l’alliance, ennemis au même titre que les insurgés des Grands Lacs. ...
... Après avoir évoqué les clauses du traité d’alliance et d’amitié, l’orateur des SeptNations proclama le ralliement de tous les chefs du Canada. ...
... Ni à Johnson Hall, ni au fort Pitt, lors des pourparlers avec les Delawares et les Chaouanons de l’Ohio114, ni à Oswego, en juillet 1766, lorsque Pontiac et ses alliés conclurent le traité qui consacra leur défaite115. ...
... La seule place qu’occupaient les Sept-Nations se résumait à celle que leur accordaient les Anglais. ...
... Quoi qu’il en soit, Pierre Senonchesse, un sachem de Kahnawake, prit la parole au nom des « Sept nations Domicilliées » : Mon frère Nous Sommes icy assemblés au nombre de Sept nations Domicilliées pour te faire notre Compliment de Condolléance & par cette ...