... Entre le 12 et le 26 octobre, Desjardins y organise sept caisses dans des paroisses de colonisation. ...

Alphonse Desjardins
... La Beauce accueille à elle seule sept caisses populaires. Mais Desjardins n’est pas obnubilé par ces chiffres. Homme de principes, il accorde autant d’importance à ce qui relève du domaine de la qualité qu’à celui des choses mesurables. ...
... Cette « société d’épargnes accumulées » est administrée et surveillée par l’exécutif, une commission composée de sept membres élus par l’assemblée générale annuelle des sociétaires. ...
... Cette « révolution administrative » s’appuie sur plusieurs traits caractéristiques de la main-d’œuvre féminine, qu’on retrouve également dans les caisses populaires au Québec : « À cette époque, écrit l’historienne Michèle Dagenais, les femmes vont constituer ...
... À la fin de 1907, le père Hermas Lalande, directeur de l’ACJC, demande à Alphonse Desjardins de lui soumettre un « plan d’étude » sur le modèle des caisses, incluant des suggestions de lectures, de sorte que les jeunes, réunis en cercles, puissent traiter ...
... Desjardins pourra ainsi y fonder une caisse en 1908 et sept autres en 1911. Toutefois, cette expérience sera loin d’être concluante. En effet, ces caisses seront toutes liquidées, à une exception près, du vivant de Desjardins103. ...
... Entre le 6 octobre 1917 et le 20 avril 1920, l’abbé Grondin signe, la plupart du temps sous le pseudonyme de Louis Arneau, 23 articles ayant trait au crédit agricole dans le journal L’Action catholique. ...
... Car c’est là que nous avait conduits le servilisme colonial : nous en étions rendus à croire qu’un Canadien français est, par nature et par éducation, forcément incompétent à traiter toute question économique et financière. De plus, M. ...
... Au début de ses activités, la Compagnie de pulpe de Chicoutimi accorde un traitement de faveur aux ouvriers qui deviennent sociétaires de la caisse. Soucieuse d’encourager l’épargne, elle leur accorde en effet une « prime » de 3 p. cent147. ...
... Malgré l’incurie du gouvernement ontarien, il fonde, de mai 1910 à avril 1913, sept caisses dans des paroisses canadiennes-françaises, presque toutes situées à Ottawa. ...