Antoine, coureur des bois

Antoine, coureur des bois

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... J’ai obtenu pour trois ans le monopole de la traite des fourrures pour Tadoussac. Je dois payer mille cinq cents livres à l’avance chaque année. ...

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... Le gîte et la pension étaient inclus, en plus d’un salaire mensuel de sept livres. Les Mohawks avaient été vaincus. Comme promis, les Od-jib-wägs avaient apporté les fourrures qui leur avaient été confiées au lac Nebagamon. ...

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... De plus, il pourrait y avoir un traité signé entre les Anglais et les Iroquois, à Albany. Aimerais-tu venir à Albany pour obtenir plus d’informations ? ...

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... Ils ont aussi établi un poste de traite à la baie. Je suis certain que ces mesures ne sont que temporaires, poursuivit le jésuite. Le lendemain, Antoine flânait dans la basse-ville. ...

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... Ces vêtements sont ce qu’il y a de plus pratique lorsque je dois aller en forêt pour faire la traite des fourrures. ...

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... Je suppose que tu fais toujours la traite des fourrures ? — Oui, occasionnellement, mais dites-moi, pourquoi le prix des peaux de castors est-il si bas ? ...

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... . — En plus, depuis que les Anglais ont ouvert un poste de traite à la baie d’Hudson, ce sont eux qui fournissent la majeure partie de l’Europe en peaux ; le marché est saturé. ...

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... Elle regarda Jeanne replacer les peaux de castors sous la porte, un léger sourire éclairant ses traits crémeux. — Nous devrions préparer le repas maintenant, nos époux ne vont pas tarder, dit Jeanne. ...

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... Elle avait les traits tirés. — Qu’est-ce qui ne va pas ? répéta-t-il. Elle s’écroula sur le plancher avant de pouvoir répondre. Une mince couche de bran de scie formant un petit nuage autour d’elle. — Jeanne ! ...

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... À première vue, les traits de Gilles semblaient lourds ; il avait un grand front bombé, des joues larges aux pommettes saillantes et un gros nez, mais l’ensemble donnait des courbes bien moulées. La vie pétillait dans ses yeux bleu gris. ...