... Cuthbert Grant, un Métis d’origine écossaise, attaque alors le fort Brandon (poste de traite de la 8. Il sera plus amplement question de Jean-Baptiste Lagimodière et de son épouse Marie-Anne Gaboury plus loin. ...

Appel de l'Ouest (L')
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... Un affrontement armé au lieu-dit des Sept-Chênes (La Grenouillère), oppose alors les agents des deux compagnies et leurs alliés, Métis et Autochtones pour la Compagnie du Nord-Ouest, soldats et colons de Selkirk pour la Compagnie de la Baie d’Hudson. ...
... La liberté de la traite La Compagnie de la Baie d’Hudson ferme d’abord les yeux sur la traite illégale des fourrures, en particulier celle qui a cours en direction des villes américaines de Pembina, au Dakota du Nord, et de Saint Paul, au Minnesota. ...
... Le procès Sayer La question de la liberté de la traite se porte par la suite devant les tribunaux. ...
... Louis Riel, fils de Jean-Louis Riel et de Julie Lagimodière, est le premier enfant du couple, qui en aura onze, dont sept filles et quatre garçons. ...
... Une fois sa nouvelle famille installée dans la colonie de la Rivière-Rouge, Jean-Baptiste, en plus de s’adonner à la traite, agira souvent comme porteur de dépêches, parfois jusqu’à Montréal, pour lord Selkirk, ainsi que nous l’avons vu plus haut. 3. ...
... Malgré la liberté de la traite, plusieurs habitants du Nord-Ouest et leurs familles se sont sédentarisés et sont devenus peu à peu des agriculteurs, occupant une partie des terres administrées par la Compagnie de la Baie d’Hudson. ...
... Une conjoncture pour le moins complexe Par la force des choses donc, le mode de vie traditionnel des Métis a été bouleversé par le déclin de la chasse aux bisons et même de la traite des fourrures ; le castor, qui servait à la fabrication des fameux « ...
... 300 000 livres, la garantie de pouvoir poursuivre ses activités commerciales sans restrictions sur le territoire, l’octroi d’un vingtième des lots ouverts à la colonisation et la conservation de 18 000 hectares de terrain autour de ses comptoirs de traite ...
... représentation au Parlement canadien, la reconnaissance du principe de la libre disposition des terres, le respect de tous les privilèges, coutumes et usages antérieurs au transfert de la souveraineté, le bilinguisme des lois et des tribunaux, la signature de traités ...