Attaque de 1763 (L')

Attaque de 1763 (L')

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... Révision : Solange Deschênes Mise en pages : Pierre-Louis Cauchon Maquette de la couverture : Anne Brissette Si vous désirez être tenu au courant des publications des Éditions du Septentrion vous pouvez nous écrire par courrier, par courriel à sept@septentrion.qc.ca ...

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... Ses excursions passèrent par Sault­ Sainte-Marie et par la rive est du lac Michigan, mais elles menaient toutes à un port d’attache : Michillimakinac, le plus grand poste de traite du nord des Grands Lacs. ...

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... Sept jours seulement après le début du siège, soit le 21  août 1760, le fort Lévis a capitulé ; ainsi le général Amherst a pu poursuivre son périple vers l’est et diriger ses troupes contre Montréal. 1. Québec se rendit le 8 septembre 1759. 2. ...

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... C’est qu’aucun traité de paix n’avait encore été signé entre les Anglais et les Indiens. Ceux-ci étaient alors dirigés par Pontiac, un chef de grande renommée. ...

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... Tous ces hommes s’engagent à faire le trajet aller et retour entre Montréal et Michillimakinac au traitement de trois cents livres (cinquante dollars) pour ceux qui sont installés aux extrémités du canot et de cent cinquante livres (vingt-cinq dollars ...

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... Trois lieues plus loin, à l’embouchure de la rivière aux Lièvres qui descend du nord, nous sommes passés devant un autre poste de traite. ...

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... Un mille plus loin, sept fenêtres s’ouvrent à nous sur la rivière, qui fait ici deux milles de largeur. Chacune nous permet d’admirer une chute d’eau de quelques dizaines de pieds, dont l’écume est d’une blancheur de neige. ...

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... Au matin du 14, nous atteignîmes un poste de traite érigé par les Français et cerné d’une palissade. Ce fut jadis un lieu important du commerce des fourrures. Des Indiens qui campaient non loin du fort j’ai pu acheter du poisson frais ou séché. ...

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... vrons un autre fort ou poste de traite qui voisine un campement d’Indiens. C’est la tribu des Maskigons, avec laquelle j’ai pu échanger quantité d’articles contre des fourrures. ...

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... et qu’après avoir reçu un petit présent le nouvel arrivant en remette un plus gros ; mais, pour le reste, il se dit ignorant des réelles intentions des Chipewyans me concernant vu que j’étais Anglais, et que les Indiens n’avaient encore signé aucun traité ...