... La création de postes de traite à Tadoussac en 1600 et la fondation de Québec en 1608 accentuent le rythme des transactions commerciales, mais il faut ...
Bacchus en Canada
... Les Hurons, intermédiaires traditionnels dans les circuits commerciaux amérindiens, sont les principaux fournisseurs de fourrures des Français : ils viennent à Québec, Trois-Rivières et Montréal échanger des peaux contre des marchandises de traite. ...
... 234 bacchus en canada En s’éloignant des villes pendant de longs mois, les coureurs de bois prennent inévitablement une distance par rapport aux mœurs françaises et à la moralité chrétienne. ...
... Il en va de la survie des premiers établissements au xviie siècle, puis de la prospérité des petites villes et des villages qui naissent dans les décennies suivantes. Des alliances militaires et commerciales s’établissent notamment entre Français ...
... Au tournant du xviiie siècle, le sulpicien François Vachon de Belmont estime que près d’une centaine de barriques (environ 22 000 litres) d’eau-de-vie sont traitées annuellement aux Amérindiens de la Montagne, de Trois-Rivières, de Québec et du Sault, ...
... L’auteur d’un mémoire anonyme de 1712, attribué à François de Ruette d’Auteuil, tient les gouverneurs et les intendants responsables du déclin de la traite dans les villes, de l’expansion de la course des bois (multiplication des congés et permissions ...
... Vicaire apostolique, évêque de Petrée et bientôt évêque de Québec, François de Laval s’attaque sérieusement à la traite. ...
... Du côté de Québec, les Hurons de la mission de Notre-Dame-de-Lorette (fondée en 1676) sont reconnus comme parfaitement abstinents par les autorités coloniales, qui en font le parangon de la vertu amérindienne. ...
... En 1633, le fondateur de Québec, Samuel de Champlain, juge tout simplement que « le plus coupable n’est ...
... Le Conseil souverain de Québec, pris entre deux feux, évalue tour à tour l’une et l’autre approche, sans parvenir à une conclusion satisfaisante : on en reste au même point. ...