Bâtir Montréal à la table 45

Bâtir Montréal à la table 45

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... Alors que moi, j’aime Prével d’amour, pour Jacques, Prével, c’est l’amour de ce qu’il y accomplit chaque jour. C’est une nuance, mais la différence, c’est que puisqu’il n’y travaille plus, il ne s’y projette plus. ...

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... Encore plus, Jacques m’a appris à prendre le temps avec les gens. C’est gênant à dire, mais nous mangeons pendant généralement plus d’une heure et demie. Je pense qu’à son époque, c’était monnaie courante, c’est comme ça qu’on faisait des affaires. ...

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... Et je réalise que je ne pourrai jamais rendre justice à ces centaines d’heures que Jacques et moi avons partagées. Mais la beauté d’écrire ces lignes, c’est que j’en ai pris conscience comme jamais auparavant. ...

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... 52 bâtir montréal à la table 45 Jacques et moi avons souvent des pensées similaires, nous sommes souvent du même avis. ...

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... Bien que Jacques n’ait jamais travaillé en construction avec son père, peut-être tout cela était-il précurseur de ce qu’il bâtirait plus tard. ...

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... Particulièrement actif pendant ses années étudiantes, Jacques s’est impliqué autant au collège qu’à l’université. ...

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... C’était un organisme d’envergure et Jacques s’est laissé prendre au jeu. ...

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... Jacques se retrouvait donc à ...

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... Jacques lui a demandé un salaire de 14 000 dollars pour être le directeur général de ce projet. Ça faisait plus d’un an que le projet était en vente quand Jacques s’est joint à l’entreprise et aucune maison n’avait trouvé preneur. ...

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... Jacques avait réussi à le sortir d’une situation délicate, et il avait fait un si bon travail qu’on n’avait plus rien pour lui ! Il se retrouvait, encore une fois, devant le néant. À devoir se chercher de nouveau un autre emploi. ...