Bâtir Montréal à la table 45

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... Il restera celui de Jacques. Dans quelques mois, nous emménageons dans de nouveaux bureaux à une nouvelle adresse. ...

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... Qui avait trouvé un rôle central auprès de Jonathan et de Jacques. Avec son caractère et ses coups de gueule. ...

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... Le frère de Jacques. Il a été un élément crucial de l’entreprise. Un des plus beaux compliments qu’on lui ait sans doute jamais fait est venu de la bouche de Jonathan : « Tu es un foutu rêveur ! » Et c’est ce qu’il était et est toujours. ...

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... Ce que Jonathan et Jacques ont réussi à créer, c’est un espace où être soi-même. ...

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... L’équipe n’a pas toujours été là, et Jacques a longtemps été seul avant d’arriver à pouvoir s’entourer. Il fut une époque où il faisait ses ventes, son chantier, son financement lui-même. ...

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... 90 bâtir montréal à la table 45 avec un certain recul : « C’est Jacques Vincent en personne qui doit se présenter. Dites à votre patron que c’est lui qui doit venir. » Jacques avait dû prouver qu’il était bien l’homme en question. ...

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... Mais j’ai aussi été ébahie de constater tout ce que Jacques avait réussi. ...

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... Déjà, au cœur des années 1980, Jacques avait statué sur un certain nombre de grands principes qui allaient le guider durant toute sa carrière. ...

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... Parce que les années 1990 ont été, pour Jacques, mais aussi pour l’ensemble de l’industrie, des années très difficiles. Et il lui fallait, par-dessus tout, payer ses sous-traitants et ses employés dans les délais prévus. ...

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... Jacques avait su construire une séparation nette entre la pression de la faillite qui lui pendait au nez et le cocon que représentait notre vie familiale. Il est passé au travers. Prével aussi. ...