Billets de Maxence, 1939-1944 (Les)

Billets de Maxence, 1939-1944 (Les)

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... limousine, conduite par un chauffeur costumé et traversant la ville, sous le regard ébahi des badauds. Tous les enfants font ces rêves de splendeur et de richesse. Maxence Gamins rue du Platon, Trois-Rivières. Entre 1903 et 1920. ...

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... Dans les grands conseils des nations, dans les gouvernements, dans les organismes plus humbles qui dirigent les villes, dans les administrations des sociétés, de toutes sortes, on ne siège pas sans quorum, même si parfois on le fait sans décorum. ...

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... La finance, l’économie politique, c’est sérieux et quand on est rendu à brasser les millions, à remettre les villes, les provinces et les pays dans leur assiette, on se moque de ceux qui n’ont d’autres occupations que d’enligner les figures de style. ...

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... Dans les villes petites ou grandes, on craint ses méfaits, on prend des mesures radicales pour enrayer son activité. Tout le monde a compris que l’on désigne par 117 ...

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... Alors que le général Franco1 se préparait à envahir Madrid et à déloger les Rouges de la capitale espagnole, on annonça au chef suprême de l’armée nationaliste qu’il y avait quatre divisions à ses côtés pour s’emparer de la ville. - Nenni, dit le généralissime ...

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... Mais, de janvier 1933 jusqu’à l’automne 1939, Fernand Gagnon sera à l’emploi de la Ville de Trois-Rivières, au « Département du greffier ». 135 ...

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... Mon bonheur a commencé là où finit la ville que je quittais pour quelques heures. ...

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... La musique avait cessé, mais mon rêve se prolongeait encore quand les cris enthousiastes d’une foule émanant de la boîte aux ondes me rappelèrent que le match de baseball entre Trois-Rivières et Québec se déroulait dans la vieille capitale. ...

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... Une ville sans musique est une ville sans âme ; et il faut être bien blasé pour ne pas aimer la fanfare. Maxence 158 ...

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... On brûle la route, en un rien de temps, sur des milles et des milles, on se transporte comme par enchantement d’une ville à l’autre. Mais d’un autre côté, le temps que l’on sauve, on le perd souvent autrement. ...