Chien d'or. Nicolas Jacquin-Philibert (1702-1748) (Le)

Chien d'or. Nicolas Jacquin-Philibert (1702-1748) (Le)

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... Nous savons par ailleurs qu’il engagea, en tant que propriétaire unique, deux campagnes de commerce triangulaire (Québec–La Martinique–Saint-Domingue–Bordeaux–Québec), une en 1739 et une autre en 1740, avec le sieur Dubois comme premier capitaine. ...

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... Dans les années 1730, il y avait un Philibert à Québec, mais officier, et il ne fit qu’un passage très rapide dans les archives. 15. En 1747, nous n’avons plus de nouvelles précises sur le Philibert. Nicolas a-t-il revendu ses parts ? ...

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... Une autre question peut aussi se poser : pendant les dix-neuf ans qu’il vécut à Québec, revint-il à un moment quelconque en France ? ...

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... La justice de Québec ne valait guère mieux que celle du roi en ancienne France. ...

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... Cette famille, qui possédait le château de Jossigny, avait une branche établie alors au Québec. ...

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... Assurément, il dut être à la fois fier et anxieux de la réussite de son frère Nicolas à Québec. C’est à ce niveau que les lettres manquent cruellement : que de nouvelles, de réflexions et d’explications nous font ainsi défaut. ...

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... 94 le chien d’or à Québec une lettre de change portant un prêt de 9 400 livres pour son client et protégé. Bien sûr, Jean-Pierre, en son nom et en celui de ses autres frères, se porta garant du remboursement sur ses biens. ...

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... Son père lui paie une pension, et il est maintenant à Québec. ...

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... En 1744, un recensement de Québec note la présence, dans la maison du sieur Philibert, de « Bastien Denorois (sic), domestique, âgé de 25 ans ». ...

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... Au xviiie siècle, les besoins en main-d’œuvre et l’atténuation des scrupules religieux favorisèrent l’augmentation du phénomène dans l’actuel Québec et les négociants trafiquant avec les Antilles se trouvaient en bonne place pour en profiter. ...