... Au niveau provincial, la Saskatchewan fournit 41 689 soldats, le Québec 88 052, et l’Ontario 242 6559. ...

Combattre avec les vivres
... Malgré tout, dans le premier Corps expéditionnaire, ce furent les chômeurs des villes, trouvant là une occasion d’échapper à leur sort, et des immigrants britanniques ayant conservé un lien étroit avec la Grande-Bretagne qui s’enrôlèrent en nombre en ...
... Il faut remarquer que, dans la majorité des cas, au Québec, en Ontario et en Saskatchewan, les publicités de recrutement étaient rares dans les journaux ruraux, même si, pour certains d’entre eux, cela constitua une source de revenus. ...
... Au Québec, en 1917, le 258e Bataillon du lieutenant-colonel Blondin utilisa aussi le train pour sillonner les campagnes p. 1. 21. « Will Not Take Over Canadian Wheat Crop », The Globe, 12 juillet 1915, p. 3. 22. ...
... Cette question fut aussi débattue sur la scène politique par ceux qui représentaient les intérêts des agriculteurs, comme le ministre de l’Agriculture du Québec, J.-E. Caron. ...
... Dans ce contexte difficile pour les producteurs, en 1916, le directeur de recrutement en Ontario conseilla de recourir aux anciens cultivateurs retirés en ville pour libérer les jeunes ruraux pour l’outre-mer. ...
... À un moment où l’attention de la Ville Reine était tournée vers le recrutement, il affirma que la production agricole devait dominer. ...
... Depuis les villes, cette attitude fut interprétée comme une preuve de ce que l’intérêt personnel primait sur le sacrifice64. Dans 59. ...
... Mourad Djebabla, La confrontation des civils québécois et ontariens à la Première Guerre mondiale, 1914-1918 les représentations de la guerre au Québec et en Ontario, : Thèse de doctorat, Montréal, Université du Québec à Montréal, 2008. 69. ...
... Nous retrouvons cette approche au Québec autour de l’idée de survie de la communauté rurale canadiennefrançaise. ...