... Depuis, les chercheurs ont rapporté de nombreux exemples de villes dans lesquelles une grève des policiers municipaux s’accompagnait de fortes augmentations de la criminalité, en particulier des vols à main armée. ...

Criminologie appliquée et la sécurité intérieure (La)
... Ainsi, au Québec, la fréquence annuelle des homicides varie au cours des années 1962 à 2017 à l’intérieur d’une fourchette allant de 62 à 225 meurtres par année. Le taux de résolution pour ces crimes est élevé, variant de 60 % à 80 %. ...
... Au Québec, les autorités lancent une opération stratégique quand une guerre de gang fait trop de victimes collatérales. Aux États-Unis, le crackdown (appelé aussi sweep et raid) est courant. ...
... Même lorsqu’ils pourchassaient un individu qui venait de dévaliser un passant en pleine ville, ils n’osaient pas le suivre dans sa rookerie (Brantingham et Brantingham, 1984). ...
... Depuis, les services de police de plusieurs villes américaines se sont attaqués à ces points chauds du crime. ...
... , leur appartenance à l’un ou l’autre gang de la ville, ...
... Par ailleurs, une cartographie des lieux dans lesquels les meurtres avaient été perpétrés faisait voir qu’ils se concentraient dans un petit nombre de points chauds de la ville. ...
... Résultats de cette campagne : entre 1991 et 1995, la ville de Boston avait connu une moyenne de 44 homicides de jeunes de 24 ans ou moins par année, puis, en 1996 – année durant laquelle Ceasefire battait son plein –, le nombre de meurtres a chuté à 25 ...
... Pour éviter qu’un délinquant suractif ne revienne sur les lieux de ses crimes pour s’en prendre de nouveau à sa victime, une interdiction de séjour dans la ville où il commettait ses crimes lui sera signifiée. ...
... Pour éviter qu’un gang ne se reforme dès que leurs membres retrouvent leur liberté, le juge inclut dans les conditions de leur libération conditionnelle une interdiction de séjour dans la ville. ...