... [Joseph] Savart en aucune manière et de l’Empêcher de piloter [depuis le cap aux Oies jusqu’à Québec] les Bâtiments dont les capitaines s’adresseront aluy ». Par les environs, sans doute peut-on inclure ici Les Éboulements. ...

Éboulements (Les)
... Ce n’est pas impossible, d’autant plus que, au temps du Régime français, c’est à la hauteur de l’Isle-aux-Coudres que les navires français prenaient un pilote pour se rendre à Québec. ...
... On sait en outre que, dès 1713, le Séminaire de Québec disposait de barques avec lesquelles on faisait le transport de marchandises – dans ce cas-ci de planches et de madriers – entre Baie-Saint-Paul et Québec60. ...
... Le 20 septembre 1768, les propriétaires du St Jean signèrent une entente avec un négociant de Québec, Jacques Larcher, qui visait la « Pêche ala Moulue, Saumon, anguille, Barre » et « la traitte » pendant la saison 1769. ...
... Plus tard, en 1782, un premier bateau construit aux Éboulements, plus précisément à cap aux Oies, fut enregistré au port de Québec. Il s’agissait du George, un sloop qui avait été construit pour Louis Chaperon, un marchand de Québec. ...
... En 1855, ce sont 5 goélettes de plus de 80 tonneaux, dont deux de plus de 100 tonneaux, qui furent enregistrées au port de Québec par des propriétaires des Éboulements. ...
... A History of Wooden Shipbuilding at Quebec 1763-1893. 69. ...
... Souvent appelé trader, le négociant se rendait dans les villages de la côte du Labrador avec diverses marchandises achetées à Québec qu’il échangeait contre du poisson, des peaux de phoques et autres produits locaux qui étaient au retour vendus à Québec ...
... Aussi les goélettes et autres types de bateaux des régions avoisinant Québec, dont Charlevoix, la Côte-du-Sud, ...
... En 1856, il créa avec deux actionnaires, Charles Édouard Desroches, commismarchand de Québec, et Jacob Dusspuit, bourgeois et mécanicien de New York, une société pour fabriquer aux Éboulements « une machine à balayer les rues », d’après une invention ...