... Dans ses « écrits sur le Québec », cette façon de définir ne se rencontre qu’une seule fois encore14. ...

Écriture de Maria Chapdelaine (L')
... Par contre, d’autres comme camp, capot, chantier, piastre ou portage ont des significations spéciales au Québec. ...
... Les quelques expressions de ce genre que l’on repère ne concernent pas le sens même d’un mot (toujours du français commun d’ailleurs), mais l’usage qui en est fait au Québec : « Lorsque les Canadiens français parlent d’eux-mêmes, ils disent toujours “ ...
... Le mot lui-même, au pays de Québec et surtout dans les régions lointaines du Nord, a pris un sens sinistre et singulier, où se révèle le danger qu’il y a à perdre le sens de l’orientation, seulement pour un jour, dans ces bois sans limites. – ...Il s’ ...
... doublée d’une justification, c’est-à-dire que l’écrivain ne se contente pas de traduire pour le lecteur français potentiel un mot que ce dernier ne comprendrait pas, mais qu’il donne aussi des éclaircissements sur l’usage qui en est fait au pays de Québec ...
... Explication anticipée en apparence (l’équivalent français devance le québécisme), en réalité c’est une définition consécutive, seulement cette fois-ci la « norme culturelle » de base n’est pas la France, mais le Québec. ...
... . [/] Elle s’assit », 125), boucane (« fumée », 61), à cette heure (« maintenant », 57), job (« travail », 63), méchant (« mauvais », 163), norouâ (« vent du nord-ouest », 53), place (« ville », 61), sucre du pays (« sucre d’érable », 12), et vues animées ...
... Les descriptions plus ou moins détaillées du chantier, de la drave et de la misère que c’était de travailler dans le temps à ces endroits (55 et 56), ainsi que celles des activités traditionnelles du pays de Québec comme « faire de la terre » (27), « ...
... Le « Assis-toué là » du curé, phrase qui a choqué au Québec au point que d’aucuns se mutuellement : d’une manière d’être et d’une manière d’agir. ...
... leur origine paysanne : le curé, sous sa soutane, « avait tout d’un homme de la terre » (124) ; le grand-père et le père du médecin avaient encore eux aussi travaillé la terre, et lui « n’avait quitté la campagne que pour faire ses études de médecin à Québec ...