... GERVAIS, Albert, La déesse brune, Val-d’Or, Éditions des Sept, 1948. ...

Éros et tabou
... Les Montagnais (Chipewyans) viennent d’y obtenir des réserves à la suite des traités avec le gouvernement canadien et Grandin leur laisse Petitot à contre-cœur110. Grandin écrit alors à Taché en juillet 102. ...
... A History of Native Residential Schools, Toronto, University of Toronto Press, 2003, p. 317-342, l’auteur traite abondamment des écoles jésuites et de leur pédagogie, sans aucune référence à d’éventuels abus. 3. ...
... Cette opération se solde par le traité de Manitouline en 1862. Seuls les indigènes de Wikwemikong, où est située la mission jésuite, ne cèdent pas leurs terres. ...
... Autrefois me dit-il un traiteur voulut m’engager à ne plus garder qu’une seule femme. Je lui répondis que les Peaux-Blanches avaient bien aussi plusieurs femmes en cachette, et que je connaissais plus d’un traiteur dans ce cas ». ...
... La vie charnelle des uns, les « traiteurs invaliderait le prêche moralisateur des autres, les », missionnaires. ...
... Là, après le traité Robinson-Supérieur de 1850, l’arrivée massive de colons (notamment irlandais) entraîne une mutation importante des rapports sociaux. ...
... La sexualité autochtone est donc avant tout un thème traité avec pudeur, de peur de réactions d’incompréhension des pairs ou d’indignation de futurs bailleurs de fonds, voire d’un jugement courroucé de l’autorité romaine. ...
... collectivité sont susceptibles d’élaborer et de promouvoir un essentialisme, c’est-àdire un certain idéal-type culturel dont la fonction est d’entretenir une impression d’unicité et de cohérence sur la base d’un partage plus ou moins fictif de valeurs et de traits ...
... Sexualité et identité dans le discours des humoristes autochtones nord-américains 487 jokes about it, just for the survival51. » En ce sens, le traitement que les humoristes réservent actuellement à la sexualité offre un reflet fidèle de cette réalité ...