... Depuis, plusieurs décennies plus tard, la condition féminine au Québec a grandement changé, au point que la situation que leurs grands-mères ont connue peut faire horreur aux jeunes filles. ...

Éros et tabou
... Selon le site officiel de la Fédération des gardes paroissiales du Québec, « la garde est une École de dévouement et de formation. ...
... Une seule petite ville pouvait compter jusqu’à une dizaine de troupes, qui faisaient des compétitions entre elles. La littérature sur les majorettes, de même que sur leurs consœurs anglophones, les cheerleaders, est d’une grande rareté. ...
... Pour nos informatrices, les villages et petites villes des régions du Québec avaient, dans ces décennies, une vie collective et festive beaucoup plus intense qu’aujourd’hui. ...
... Parallèlement, comme il y eut également des reines, des duchesses, des miss et des majorettes chez les Amérindiens du Québec, on peut se demander si leur destinée fut similaire. ...
... Cela leur fut possible surtout à partir du moment où ils purent s’établir parmi leurs ouailles, c’est-à-dire quand les familles devinrent sédentaires, à partir de la deuxième moitié du xixe siècle en ce qui concerne la majorité des Amérindiens du Québec ...
... Ainsi, comme les reines québécoises, les reines amérindiennes du Québec ont probablement des origines religieuses. Les reines et les princesses indiennes du Québec : une mode nord-américaine ? ...
... Elle avait également un métier, nécessitant un bon niveau d’instruction scolaire, ce qui, pour une femme amérindienne de son époque au Québec, était exceptionnel. ...
... Jusque dans les années 1970, les pow-wows au Québec étaient synonymes de carnavals, avec des activités aussi diverses que des parades, des tournois sportifs, des spectacles (de chants, de danse, voire des performances de saynètes), des démonstrations ...
... Quant au Bonhomme Carnaval, il fut créé en 1954 pour être la mascotte du Carnaval de Québec. ...