Espions des Lumières (Les)

Espions des Lumières (Les)

Page 426

... Son identification permet de suivre ses faits et gestes : « Je l’ai encore fait suivre aujourd’hui dans les maisons où il est entré ; il est ensuite sorti de la ville par la porte de Malines, où il m’a dit qu’il devait aller coucheré [sic]80. » M. de ...

Page 427

... Stacey, « Bourlamaque, François-Charles de » dans Dictionnaire biographique du Canada, Tome III, 1741-1770, Québec, Presses de l’Université Laval, 1974. 86.  ...

Page 428

... Il part donc le 13 juillet de Québec avec 32 vaisseaux de guerre, neuf batteries flottantes et de nombreuses barges. ...

Page 431

... c h a p i t r e 10 • Déjouer les espions ennemis 431 français un plan du port de New York et des routes qui y conduisent ainsi que les moyens les plus aisés pour capturer la ville et l’utiliser comme base de conquête pour l’Amérique du Nord anglaise104 ...

Page 432

... À peine débarqués à New York, son interlocuteur s’empresse d’aller l’accuser de haute trahison auprès des autorités de la ville. ...

Page 443

... Il indique aussi que le duc de Zerbst aurait été prêt à exposer la ville à un siège, mais Fraigne, dans un geste chevaleresque, préfère se livrer pour épargner à la principauté des destructions. 177.  ...

Page 449

... Par la signature de son auteur, celui-ci est démasqué : alors qu’il n’était qu’un simple otage détenu à Québec, il est désormais considéré comme un espion. ...

Page 450

... Source : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, P1000, S3, D1971. Robert Stobo et Jacob Van Braam208. Les deux hommes sont donc transférés d’une ville à l’autre, suscitant la curiosité de la population. ...

Page 451

... l’année précédente, l’intendant Bigot se montrait déjà suspicieux face à ces deux otages, qu’il jugeait bien trop libres de leur mouvement ; il écrivait ainsi : Il est à penser que les Anglais n’ont pas renvoyé nos Canadiens pour conserver en lui, à Québec ...

Page 453

... Sa condamnation ne fait pour lui aucun doute et la conclusion est implacable, Céloron demandant à ce « qu’il soit condamné à avoir la tête tranchée sur un échaffaut, qui pour cet effet sera dressé en la place d’arme de cette ville […]222 ». ...