Exilés au nom du roi

... Ce sont ces derniers qui eurent les carrières les plus remarquables en étant nommés respectivement notaires royaux dans les villes de Montréal et de Trois-Rivières. ...

... Jacques Mathieu, La Nouvelle-France : les Français en Amérique du Nord XVI e- XVIII e siècle, Québec, Presses de l’Université Laval, 1991, p. 74. 56. ...

... Registre des magasins du roi à Québec, 1er septembre 1743, ANC, Fonds des colonies, Collection C11A, volume 78, folios 35-39v. 80. Lettre de Maurepas à Longueuil et Bégon, 14 mai 1726, ANC, Fonds des colonies, Série B, volume 49, folio 645v. 81. ...

... Ordonnance de l’intendant Gilles Hocquart, 10 mai 1736, Archives nationales du Québec [ci-après ANQ], O3Q_E1, S1, P2819. 100. ...

... Pour leur part, les villes franches et les pays de salines étaient dispensés de la gabelle, car ils étaient situés près des marais salants ou avaient exigé lors de leur annexion au royaume d’être déchargés de cette taxe. ...

... Il faut dire que la contrebande était moins pratiquée dans ces régions et que la proximité de Marseille, ville où se trouvaient la majorité des galères du roi, rendait les peines prévues par les ordonnances plus facilement applicables à ces derniers. ...

... La majorité est demeurée à proximité des centres urbains de la colonie, puisque sept faux-sauniers se sont installés à Montréal et 33 autres se sont établis dans la ville de Québec. 152 ...

... 2 3 1 6  5 Seigneuries où se sont établis les faux-sauniers dans le gouvernement de Québec (carte tirée de Richard Colebrook HARRIS, The Seigneurial System in Early Canada). ...

... À son arrivée à Québec en 1734, cet homme fut examiné par le chirurgien royal de Québec qui le déclara hermaphrodite. Le gouverneur et l’intendant demandèrent donc son rapatriement, ce qui leur fut accordé. ...

... À son arrivée dans la colonie en 1739, il s’établit à Québec. En 1744, il épousa la fille de Joseph Roy, et s’associa à son beau-père qui était marchand-négociant. ...