... Ville de Montréal, Budget 1999, adopté le 17 décembre 1999. 2. Gouvernement du Québec, Pacte 2000, p. 185. 3. Ville de Montréal, Montréal, ville d’affaires (1993). ...

Folie des grandeurs (La)
... Les résidents de l’ancienne ville de Montréal ne payaient que 40 % des taxes et impôts3. Qui se chargeait des 60 % restants ? Alcan, BCE, Molson, La Baie, le Port de Montréal, le gouvernement du Québec, pour n’en nommer que quelques-uns, mais 1. ...
... Puisque nous avons vu que Montréal n’avait pas à supporter un fardeau supplémentaire considérable et puisque le secteur commercial finançait la ville, le problème de l’équité fiscale était-il résolu ? ...
... Villes-centres des régions métropolitaines du Québec. ...
... Une des raisons pourrait être que l’impôt foncier (appelé « compensation fiscale [en-lieu de taxes] ») payé par le Québec et le Canada est lié au taux global de taxation. Ainsi, plus ce dernier est élevé, plus Montréal encaisse d’argent. 3. ...
... Les taux globaux de taxation étaient ceux indiqués dans Gouvernement du Québec, Pacte 2000 (Rapport Bédard), 181. ...
... Gouvernement du Québec, ministère des Affaires municipales, L’Urbanisation au Québec (Rapport Castonguay), p. 269. 2. ...
... Pour 2001 : Gouvernement du Québec, ministère des Affaires municipales, Direction des politiques fiscales et économiques, Comparaison : taux de taxation et compte de taxes moyen d’une résidence unifamiliale. ...
... Presque tout le réseau du métro se trouvait dans les limites de la ville de Montréal, ce qui ...
... On aurait aussi pu argumenter que les banlieues de l’île profitaient également d’un centre-ville sécuritaire et accessible. ...