Folie des grandeurs (La)

Folie des grandeurs (La)

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... Bien sûr, Québec ignore cela : aucun de ses ministres des Affaires municipales n’en a jamais administré une2. Le Québec a toujours souffert de ce que j’appelle la tyrannie de la ruralité. ...

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... La meilleure illustration de cette tyrannie de la ruralité est cet essaim de petites villes et de villages ruraux qui vivent pour la plupart de l’aide gouvernementale. ...

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... Ils étaient devenus malgré eux les citoyens de l’une des nouvelles villes imposées partout au Québec. ...

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... agglomérations du Québec. ...

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... Comment parler des fusions montréalaises sans aborder l’omniprésente bête noire du Québec, la question de la langue ? ...

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... À l’époque, j’ai soutenu que la disparition des villes anglophones n’était qu’un effet secondaire, certes bienvenu pour le PQ, et non l’objectif principal des fusions qui, après tout, se faisaient à la grandeur du Québec. ...

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... Ils ne se reconnaissaient pas dans l’appareil du gouvernement du Québec, qui est entièrement francophone, ni, pour la même raison, dans celui de la ville de Montréal. ...

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... Bien que la plupart des Québécois, toutes appartenances linguistiques confondues, s’opposaient aux fusions forcées, un an à peine après leur réalisation, cette volonté de briser la grande ville a été perçue par certains francophones comme mal venue1. ...

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... et la ville de Montréal. ...

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... Avant les défusions de 2006 au Québec, il n’y avait eu dans le monde entier qu’un seul cas de défusion1 –  et encore, il ne visait qu’une municipalité rurale. ...