... Il racontait qu’un ministre des Transports lui avait dit que, dans son service, il était bien connu que la ville de Montréal payait 15 % de trop pour les contrats qu’elle passait. ...

Folie des grandeurs (La)
... Donc, pour s’éloigner de son passé de cul-terreux, le Québec devait suivre servilement tout ce qui était en vogue en France. ...
... Quand j’ai quitté la ville terne de Toronto en 1968 pour déménager pour la première fois à Montréal, j’ai adoré le style et le panache du métro. Son architecture contrastait avec la monotonie des tuiles de toilettes du métro de Toronto. ...
... La différence, c’est que le gouvernement du Québec ne veut plus jouer ce jeu et refusera de se brûler une deuxième fois ; de plus, la dette de la province est passée de 12 % de la production économique en 1972 à 52 % en 19981. ...
... Nettoyons notre ville et ses infrastructures, et le monde fera la queue à notre porte. Nous n’avons pas besoin de gadgets extravagants. Pourquoi les Montréalais ont-ils toléré des conseils de ville si prodigues ? ...
... Drapeau nous a légué une autre part d’héritage assez insidieuse : il a fermé les yeux sur le sous-financement flagrant de la caisse de retraite de la ville. M. ...
... La dette Personne ne nierait qu’un des motifs de l’enthousiasme des mandarins québécois pour « une île, une ville » était d’amener les banlieues de l’île à participer au paiement de l’énorme dette accumulée par Montréal. ...
... Gouvernement du Québec, Pacte 2000, p. 334. 2. Ville de Montréal, Budget 1999, p. E-34 et E-35. 3. Gouvernement du Québec, Service de la métropole, 28 novembre 1997. ...
... 10 le remède de québec : une nouvelle administration gigantesque ou une nouvelle ville gigantesque ? On ne peut pas être contre tout : contre les fusions, contre le supramunicipal, contre la réorganisation. Le statu quo n’est pas une option. ...
... Bouchard et Mme Harel qu’en février 1999, quand il est venu leur présenter son grand projet d’« une île, une ville ». ...