... Bourque s’est opposé à l’idée d’une administration régionale élue au suffrage direct et, bien sûr, à celle d’« une île, trois villes ». Il a déclaré que cela créerait une ville anglophone dans l’Ouest de l’île et une ville sans âme dans l’Est. ...

Folie des grandeurs (La)
... Mais il n’a pas expliqué en quoi fusionner les municipalités de banlieue améliorerait le sort de ces familles, puisque cette question, comme nous l’avons vu au chapitre 7, relève de la responsabilité de Québec et non des villes. ...
... , comme ville-centre, avait déclaré M. ...
... Ainsi, la création de la mégaville n’entraînerait pas une réduction des d’impôts et de taxes pour les résidents de l’ancienne ville de Montréal en forçant les villes de banlieue présumément parasitaires à « payer leur part ». ...
... Bourque comme vendeur en chef pour « une île, une ville ». « La ville de Montréal aura beau faire semblant de prendre l’affaire au sérieux en achetant de pleines pages de publicité dans des journaux pour vanter ce projet, le simple fait que M. ...
... Pour combattre l’idée d’« une île, une ville », nous avions besoin de deux choses : des faits et des personnes influentes. ...
... Mais il m’a averti : « Il ne faudrait pas que Westmount soit vue comme la seule ville à protester ; en fait, elle ne devrait même pas faire figure de leader dans l’opposition à “une île, une ville”. » Il a ajouté qu’il ferait quelques téléphones une ...
... Un lundi matin, le 14 juin, les manchettes de La Presse ont annoncé : « Non au projet une île, une ville ». Moins ...
... Bourque. « Est-ce qu’il y a un francophone sur le territoire de Montréal qui n’a pas rêvé que sa ville englobe l’île ? ...
... J’étais aux anges : la menace d’« une île, une ville » s’était évanouie. ...