... La nouvelle position de Mme Harel était que, même si la nouvelle administration régionale était la priorité, l’étape suivante pourrait être « une île, une ville ». ...

Folie des grandeurs (La)
... L’Union des municipalités du Québec la décrivait comme un monstre bureaucratique. M. Bourque déplorait que Mme Danyluk ait préféré cela à des fusions massives. ...
... Mis à part la petite ville de Montréal-Est, les 26 municipalités condamnées à disparaître avec « une île, une ville » étaient toutes des circonscriptions libérales. ...
... Un peu platement, j’ai déclaré : « Il est déplorable et très attristant que Québec songe à prendre une décision qui affectera l’avenir des Montréalais durant des années en fonction de la politique partisane du Parti québécois. » Le maire de Dorval, ...
... Guy Coulombe avait accepté de devenir directeur général de la ville de Montréal. Ce n’était pas un directeur général ordinaire. L’homme avait dirigé Hydro-Québec et la Sûreté du Québec. Il était ami avec les conseillers les plus proches de M. ...
... Bourque savait qu’on le considérait avec condescendance à Québec, autant parmi les politiciens que parmi les fonctionnaires. Recruter M. Coulombe avait été un coup de maître. Que la chose ait été imposée par Québec, que l’initiative soit venue de M. ...
... Le plus important problème de notre région était l’étalement urbain ; le second en importance, qui y était directement lié, était la situation financière de la ville de Montréal. ...
... J’ai toujours pensé qu’envisager une telle fusion nous amenait directement sur la pente glissante d’« une île, une ville ». ...
... De toute manière, même si « une île, une ville » pouvait permettre d’économiser 100 millions de dollars par année, cela ne représentait jamais que 1. ...
... Il avait raison, mais on pouvait dire la même chose des villes de banlieue, même si notre secteur commercial était proportionnellement plus petit. D’ailleurs, le coût d’entretien du secteur commercial était plutôt minime. ...