Fruits du Québec (Les)

Fruits du Québec (Les)

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... On l’a vu précédemment, des wagons chargés de prunes de Californie et d’Ontario envahissent le marché du Québec dès la fin du xixe siècle. ...

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... Dans une étude approfondie effectuée en 1944, l’agronome Aubert Hamel concluait de la façon suivante son examen de la situation : « Les prunes du Québec arrivent à maturité en un temps où tous les fruits abondent sur le marché ; environ un ...

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... On a peut-être laissé tomber ainsi la petite clientèle qui demandait encore des « Damas de Québec » (Hamel, 1955 : 12). ...

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... On la signale très tôt autour de Montréal, mais elle semble davantage répandue dans la région de Québec et plus à l’est (Chapais, 1891 : 161). Le nom « Montmorency » rappelle la commune du Val d’Oise, près de Paris, ...

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... Elle est présente au Québec depuis 1870, surtout sur la Côte-du-Sud. Photo : Denis Faucher. Les fruits à noyaux • 165 ...

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... Les plus anciennes variétés de cerises de culture proviendraient d’Asie mineure, plus particulièrement de la région du PontEuxin, où elles auraient donné son nom à la ville antique de Cerasonte. ...

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... Voilà pourquoi il ne semble pas y avoir de grands vergers de cerisiers au Québec avant la fin du xixe siècle, et encore les trouve-t-on près des marchés urbains. ...

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... La culture de la cerise prend un essor relatif au milieu du xixe siècle, sans doute stimulée par la croissance des villes, des pôles régionaux et des villages qui constituent autant de marchés de proximité. Jean-Charles Taché rapporte en 1855 ...

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... » s’inquiétait la Société de pomologie du Québec, en 1900. Chaque ferme avait son verger de cerises qui faisaient les délices des jeunes et des vieux. ...

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... En somme, qu’ils soient producteurs de poires, de prunes ou de cerises, les arboriculteurs fruitiers du Québec livrent la même lutte tout au long du xxe siècle. ...