... On l’a vu précédemment, cette technique de confiserie consiste à remplacer par un sirop de sucre blanc les sucs naturels d’un fruit, en six ou sept « chauffes » successives ; soumis à ce procédé long et délicat, passablement coûteux, le fruit ainsi confit ...

Fruits du Québec (Les)
... En plus de s’être livré à l’analyse des bois du Canada, il publie en 1768 son fameux Traité des Arbres fruitiers qui fera autorité pendant près d’un siècle. Gravure tirée de Bogaert-Damin, 1992. ...
... des arbres et arbustes, qui paraît en 1755 et qui fait suite à un premier Traité de la culture des terres (1750). ...
... Au recensement de 1831, la ville et ses faubourgs comptent encore sept cultivateurs, huit fermiers, quatre laboureurs et pas moins de 78 jardiniers (J.-C. Robert, 1987 : 95). Quels sont les fruits les plus fréquemment mentionnés ? ...
... une idée très en vogue à l’époque et que véhiculent plusieurs porteurs du renouveau agricole, tels Joseph-François Perrault, Augustin-Norbert Morin et aussi l’agronome William Evans, secrétaire de la Société d’agriculture du Bas-Canada et auteur d’un traité ...
... , encore bien conservée, marque le paysage villageois à l’entrée ouest de Saint-Roch : elle mesure soixante-cinq pieds de longueur sur trente-cinq pieds de largeur, comprend une vingtaine de pièces réparties sur quatre niveaux d’occupation et compte sept ...
... Quant aux variétés de prunes, leur nombre est déjà passé à trente-six, et on compte maintenant sept variétés de melons. ...
... En 1836, Evans fait publier en version française son Traité théorique et pratique d’agriculture qui contient réflexions critiques et conseils utiles et qui insiste sur l’expérimentation systématique des innovations. ...
... , la ferme modèle de William Evans, en 82 • les fruits du québec On sait peu de chose sur l’origine et le parcours de ce personnage que ses contemporains qualifient « d’âme dirigeante et de promoteur de la culture fruitière » au Québec, pendant dix-sept ...
... de promouvoir la plantation d’arbres indigènes et en invitant le gouvernement à planter ormes, érables, hêtres et bouleaux du pays plutôt que d’importer des espèces étrangères, car « il a été constaté à Montréal en Sept. dernier à la réunion des membres ...