... Sachant l’intérêt de Perrault pour l’horticulture fruitière, qu’il pratique à son asile champêtre (voir p. 63), et dont il consigne les observations dans ses deux volumes, Traité du Jardinage et Traité de la grande et petite culture… (1831), on peut croire ...

Fruits du Québec (Les)
... L’entreprise relativement importante compte une résidence, des dépendances, une école, une chapelle, une scierie, des jardins et des champs en culture ; elle doit cependant cesser ses activités sept ans plus tard. ...
... Les jardins scolaires vont se multiplier entre 1912 et 1922, jusqu’à en compter plus de sept cents, répartis un peu partout en milieu rural. ...
... Cette récolte annuelle et moyenne de fruits, à laquelle il faut ajouter les milliers de livres de légumes des vastes potagers, les sept tonnes de citrouilles et les trois mille livres de miel des ruchers, sert exclusivement à nourrir la communauté jusqu ...
... Le deuxième fait remarquable qu’on observe au cours du siècle a trait à la nécessité sans cesse mieux perçue par les producteurs de regrouper leurs forces pour affronter celles des marchés. ...
... À partir de 1948, pour payer les coûts élevés de ses traitements médicaux, il se transforme en pépiniériste et offre en vente plants de vignes et d’arbres fruitiers : voilà pourquoi on retrouve aujourd’hui, dans quelques vergers, la poire Savignac (voir ...
... Dès 1948, afin de payer ses traitements chiropratiques, il commence à offrir en vente plants de vigne, de tomates et d’arbres fruitiers issus de ces premiers sujets, dont bien sûr les poiriers qui portent dorénavant son nom (Beaupré, 1994 : 15). ...
... Quelques années plus tard, Duhamel du Monceau présente dans son Traité… une sélection des 39 meilleures pommes des jardins de France, à l’exclusion toutefois des pommes à cidre. ...
... réseau commercial, mais aussi en raison d’une demande accrue que le marchand Pierre Guy entreprend de fournir le cidre aux garnisons et aux tavernes de Montréal, en plus d’expédier ses barils de pommes jusqu’à Québec, et même au-delà, dans les postes de traite ...
... Deux autres traits viennent particulariser la pomiculture québécoise à partir de 1830, soit la position dominante prise par les producteurs anglophones et, conséquemment, leur inscription dans le réseau continental des échanges, soit commerciaux, soit ...