... Six provinces sur dix votèrent contre l’Accord de Charlottetown, le Québec rejeta l’accord avec 55 % de voix contre, l’opposition souverainiste menée par Jacques Parizeau avait appelé à voter massivement en faveur du non, dénonçant l’insuffisance notable ...
Géopolitique d'une ambition inuite
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... Jusqu’à la prise de fonction du gouvernement souverainiste de Jacques Parizeau, le gouvernement libéral de Robert Bourassa fit preuve d’une détermination politique offensive à redéfinir une politique autochtone. ...
... Ainsi, le 18 novembre 1994, Jacques Parizeau, devenu le premier ministre d’un Québec qui préparait un référendum sur son indépendance, déclara l’abandon officiel du projet Grande-Baleine. ...
... Jacques Parizeau ne nomme pas de ministre délégué aux Affaires autochtones, mais prend personnellement en charge la gestion politique des négociations avec les Premières Nations. ...
... Très paradoxalement, le sursaut souverainiste, particulièrement dynamique durant Charlottetown et qui a mené à la victoire de Jacques Parizeau, s’est considérablement essoufflé. ...
... Pour Zebedee Nungak, le processus de consultation populaire, tel que l’a décrit Jacques Parizeau, ne laisse aucune place à des non-souverainistes. ...
... L’avocat Jacques Kurtness expliqua aux émissaires de David Cliche que cet accord ne prenait pas assez en compte la tradition montagnaise selon laquelle chaque famille évolue spatialement à l’intérieur d’un territoire social délimité pour la pratique des ...
... Ces commissions régionales, qui sont la création personnelle de Jacques Parizeau, constituent une sorte de « constituante itinérante » dont les membres sont tous les citoyens du Québec. ...
... Ces accusations eurent suffisamment de résonance aux États-Unis pour que Jacques Parizeau invite les Américains à venir voir la situation des autochtones dans les territoires nordiques. ...
... On apprit qu’au moment où se déroulaient les référendums parallèles des autochtones du Nord québécois Jacques Parizeau, suffisamment incertain des réactions de la communauté internationale, avait fait ce qu’en langage diplomatique québécois on nomme « ...