Guerre de Sept Ans, 1756-1763 (La)

Guerre de Sept Ans, 1756-1763 (La)

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... C’est en effet le 8 juin qu’a eu lieu le débarquement à l’île Royale des forces britanniques chargées de prendre l’altière forteresse qui domine la ville. ...

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... Il ne fait guère de doutes, en effet, que ni Québec, ni, encore moins, Montréal ne pourront être conquis avant la venue des premiers frimas. ...

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... C’est un chef de guerre froid, cassant, irritable au dernier degré qui est nommé, à la fin de l’année, à la tête des troupes chargées de prendre Québec. ...

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... Le spectateur est invité à remonter douze ans en arrière, jusqu’au 13 septembre 1759, et à se rendre jusqu’aux portes de la cité alors encore française de Québec. La matinée touche à sa fin. La bataille des plaines d’Abraham s’achève. ...

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... Du reste, le sort de l’Amérique, n’en déplaise à Benjamin West et à ses contemporains, ne s’est pas joué près de Québec. ...

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... Entre ces deux moments, Québec aura été pris et la marine du roi aura été anéantie. ...

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... procéder à une offensive à la BelleRivière pour reprendre le fort Pitt ; tenir la zone vitale du fort Niagara ; barrer la route à l’ennemi en défendant le couloir des lacs jusqu’à Montréal ; et, bien entendu, faire face à l’assaut qui se prépare contre Québec ...

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... voici au fait du désastre naval de Lagos, de l’abandon au Canada du fort Saint-Frédéric, de la perte du fort Niagara et des derniers mouvements des forces commandées par le « général Wolff », qui ont « débarqué dans l’île d’Orléans, à cinq milles de Québec ...

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... Lorsque les Français apprennent que Québec est assiégée, la ville est tombée entre les mains de l’ennemi. Jusqu’à son terme, l’issue aura été des plus incertaines. ...

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... Immédiatement, tandis que le siège de la ville commence, le doute le saisit. Wolfe réalise que prendre Québec relève de la gageure. Le général fait face à une ville dont les défenses ont été renforcées par Montcalm. ...