Histoire des Dominicaines de Trois-Rivières

Histoire des Dominicaines de Trois-Rivières

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... Au total, la congrégation passe de cent vingt-trois à cent soixante-trois à deux cent sept membres entre le 1er septembre 1930, le 1er septembre 1939 et le 1er septembre 1950. ...

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... Entre 1951 et 1955, on note moins de dix entrées par année, pas même sept à partir de 1956, pour un total de soixante-dix-neuf seulement avant 1962 : aucun doute, la vie religieuse attire moins, la stagnation des effectifs menace la congrégation. ...

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... Des histoires d’enfants qui attendent souvent longtemps, parfois en vain, que leur famille vienne les reprendre, ou au moins les visiter ; le souvenir d’avoir été « retourné » à l’orphelinat ou traité sans ménagement par ses parents adoptifs ; le témoignage ...

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... Afin de soutenir les liens personnels entre les enfants, les religieuses adoptent aussi la « formule scoute » à Ville-Joie Saint-Dominique, soit la formation, au sein de chaque groupe, d’équipes de six ou sept garçons qui vivent ensemble, sont voisins ...

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... On le voit : les exposés sur les apprentissages doctrinaux cèdent carrément le pas devant le souci de traiter de questions concrètes. ...

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... Bien qu’elle soit entièrement privée, l’école offre le programme du département de l’Instruction publique jusqu’à la septième année inclusivement. ...

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... À Hull, par exemple, pour dix-sept à vingt sœurs, il y a autant d’aides jusqu’en 1955 et vingt-cinq ou vingt-six après cette date73. Mêmes ratios ailleurs. La congrégation est en train de devenir un employeur important. ...

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... En 1962, au moment du chapitre général, l’établissement de Sainte-Marthe-du-Cap, d’une capacité de deux cents, abrite cent cinquante-sept enfants, tandis que Ville-Joie Saint-Dominique, qui pourrait loger plus de trois cent cinquante jeunes, en accueille ...

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... Chronique du Patronage, sept. 1943-janvier 1944, manuscrit. ...