... En 1952, le géographe français, Pierre Biays, écrivit un court article sur l’économie du village de Cap-Saint-Georges sans toutefois traiter en détail la vie traditionnelle de la région1. En 1964, John T. ...
Histoire et traditions orales des Franco-Acadiens de Terre-Neuve
... «septième fils»)7. Chaque emprunt est représenté sans modification; les principes orthographiques de la langue d’origine ont été respectés. Là où un ...
... De telles suppressions sont indiquées par trois points de suspension, comme dans l’exemple suivant: «La Sainte Vierge [...] elle, elle a passé les sept douleurs, eh?» ...
... Cependant, en 1713, la France et l’Angleterre signèrent le traité d’Utrecht, qui mit fin à la guerre de la Succession d’Espagne, et en vertu duquel la France abandonna la colonie ...
... En 1763, le traité de Paris mit fin à la guerre de Sept Ans et marqua la perte de toutes les colonies françaises en Amérique du Nord. ...
... De plus, les termes de ce traité donnèrent une définition entièrement nouvelle du French Shore, qui comprenait aussi la région de la baie Saint-Georges et de la presqu’île de Port-au-Port où s’installeront, à partir de la fin du XVIIIe siècle, et en dépit ...
... Les Français avaient perdu tous leurs droits de possession à Terre-Neuve et, même s’ils conservaient un droit de pêche sur une partie de la côte du Petit Nord nommée le French Shore, les divers traités et actes interdisaient toute colonisation. ...
... N’ayant jamais été traités comme des sujets de valeur par la France et ayant pour la plupart vécu sur leurs terres depuis quatre ou cinq générations, les Acadiens ne virent aucun inconvénient à accepter les conditions proposées par les Anglais, qui leur ...
... Or, en 1750, quelques années avant ce «dérangement», sept familles acadiennes, se méfiant des intentions des Anglais et refusant de prêter serment de fidélité au roi d’Angleterre, vinrent s’installer dans l’île du Cap-Breton sur les terres cultivables ...
... Il convient de préciser, avant d’accepter ces évaluations, qu’elles furent écrites par des administrateurs et des officiers qui trouvaient gênante la présence d’une colonie permanente, qu’elle fût anglaise ou française, car, selon les traités entre les ...