... Le Canada n’oserait plus nous traiter de façon aussi ignoble. » L’attitude agressive des colonies maritimes et leur désir de s’unir sans le Canada-Uni commencent à inquiéter les autorités canadiennes. ...

Histoire populaire du Québec, tome 3
... Le gouverneur Monck traite Coursol de “juge stupide” et convoque quelques ministres à Spencerwood pour discuter de l’affaire. Cartier se rend d’urgence à Washington pour expliquer la conduite canadienne. ...
... tant que je serai ministre de la Couronne, qu’une injustice soit faite, d’après la Constitution ou autrement, à mes compatriotes, soit anglais, soit catholiques ; je ne souffrirai jamais que mes compatriotes, les Canadiens français, soient injustement traités ...
... relevée de l’obligation implicite de le considérer comme un traité et pourra à son tour l’amender ad libitum au point de vue de ses propres intérêts ; tous nos travaux resteront sans résultat, et nous aurons à recommencer et à élaborer un nouveau traité ...
... Galt note qu’ils ont été traités comme des ambassadeurs et non comme de simples coloniaux, ainsi qu’ils ont été toujours appelés. Le prince de Galles, qui était dans la salle, les reconnaît et les salue gentiment ! ...
... La discussion porte ensuite sur le renouvellement du traité de réciprocité et sur l’ouverture des territoires du Nord-Ouest à la colonisation et à l’agriculture. ...
... Dans leur rapport au gouverneur général, ils écrivent : Sur le sujet du Traité de réciprocité américain, nous entrâmes dans de complètes explications avec les ministres impériaux. ...
... Les gouvernements impériaux et canadiens doivent faire vite car, le 12 janvier précédent, le Sénat américain avait voté l’abrogation du traité par un vote de 33 voix contre 8. ...
... terminer le traité à l’expiration de dix années, en donnant avis à l’autre partie. ...
... Le ministère, même après la clôture des travaux parlementaires, continue à se préoccuper de la question du renouvellement du Traité de réciprocité. ...