Histoire populaire du Québec, tome 3

Histoire populaire du Québec, tome 3

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... riel ii 565 vingt fois au moins, je lui ai dit que je ne voulais pas traiter ces matières-là, parce qu’il était fou, parce qu’il n’avait pas son bon sens. » Le père Vital Fourmond intervient dans le même sens. ...

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... Confédération, car cela voudra dire que la majorité coalisée aura cessé de respecter les droits de notre minorité, et nous croyons qu’une association politique, tout comme une société commerciale, ne peut exister qu’à la condition que tous les associés soient traités ...

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... Comme Bretons, nous croyons qu’on devra se battre de nouveau pour la conquête et le Bas-Canada peut le croire, il n’y aura pas cette fois de traité de 1763. Les vainqueurs ne capituleront pas la prochaine fois. ...

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... Tôt le matin, Riel entend la messe, communie et, vers les sept heures, le père André lui administre les derniers sacrements. ...

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... le gibet 591 le monde veut posséder les traits du martyr politique du NordOuest qui prend place dans l’histoire à côté des victimes de 1837-38. » Laurier et Mercier, entourés des principaux hommes politiques canadiens-français, sont là. ...

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... Si les honorables messieurs d’en face veulent lire l’histoire, ils verront que mes ancêtres, dans toutes leurs luttes passées contre la couronne d’Angleterre, n’ont jamais voulu autre chose que d’être traités comme des sujets britanniques et qu’aussitôt ...

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... Pourquoi ne pas ouvrir les polls à six heures du matin et les fermer à sept heures du soir ? ...

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... La dix-septième résolution indique les montants que les provinces aimeraient recevoir du gouvernement fédéral. Sur la résolution touchant les relations commerciales avec les États-Unis, le Nouveau-Brunswick enregistre son désaccord. ...

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... aux yeux de plusieurs, le « patronage ». « Ni ministre ni même député, affirme l’historien Robert Rumilly, Pacaud plaçait des fonctionnaires, décidait des candidatures, procurait des commandes aux entrepreneurs, endossait des chèques, escomptait des traites ...

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... . […] Jamais, dans aucun pays on n’a traité une minorité avec autant de libéralité et de justice que l’on en montre à l’égard de la minorité anglaise dans Québec. ...