Histoire populaire du Québec, tome 5

Histoire populaire du Québec, tome 5

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... Sept jours plus tard, à une réunion où Maurice Couve de Murville, le ministre des Affaires étrangères, rend compte de la visite du premier ministre du Canada, de Gaulle fait remarquer : « Le peuple canadienfrançais va vers l’indépendance. ...

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... Sept jours plus tard, le ministre Laporte et l’ambassadeur de France au Canada, François Leduc, signent une nouvelle entente portant sur la culture sans référer à l’accord-cadre. ...

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... On croyait qu’il s’agissait d’une ruse pour induire en erreur les Indiens visés par les traités. » Avant 1960, sur les 60 000 adultes qui vivaient dans les réserves, seulement 122 se sont prévalus du droit de vote. ...

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... Jusqu’aux années 1960, les Inuits – qu’on appelle encore Esquimaux – sont traités à part des Amérindiens. ...

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... Des pensionnats sont également établis à Amos et à Sept-Îles. Quant aux jeunes Cris de la baie James, on les envoie dans le pensionnat ontarien de Sault Ste. Marie. ...

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... Il dénonce aussi le traitement des Autochtones dans les manuels d’histoire et recommande qu’ils soient « émondés et rectifiés de façon à faire mieux connaître les civilisations amérindiennes et à présenter une image plus vraie des Indiens d’Amérique » ...

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... L’Angleterre, au contraire, reconnaît ces droits dans la common law, ce qui explique qu’elle les rachète par des traités. La Loi d’extension des frontières de 1912 le confirme. ...

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... Aucun statut particulier ne peut être toléré, en particulier « l’anomalie de traités entre certains groupes à l’intérieur de la société et le gouvernement de cette société » [Politique, 12]. ...

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... soigneusement les paramètres de l’action gouvernementale et signale les mesures qui seraient accessibles au Qué­ bec dans le régime fédératif actuel : l’accueil et l’intégration des immi­ grants, le recrutement, les accords avec les États étrangers, le traitement ...

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... majorité que le Parti libéral a obtenu lui vient des anglophones de Montréal. » Mais il sent le besoin d’ajouter : « L’Union nationale a une tradition de respect pour tous les citoyens et, sous les gouvernements de l’Union nationale, personne n’a été traité ...