Histoire populaire du Québec, tome 5

Histoire populaire du Québec, tome 5

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... Alors que les exilés à Cuba ne seront pas accueillis en héros et qu’il leur faudra attendre l’année 1978 ou 1979 pour revenir au Québec, les membres de la cellule Chénier connaîtront une longue saga judiciaire avant de passer plusieurs années en prison ...

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... Au fil des années, elle avait donné naissance à quatre municipalités : L’Abord-à-Plouffe, Laval-des-Rapides, ville Saint-Martin et ville de Renaud. Dès 1960, il est de plus en plus question d’une fusion de ces diverses municipalités. ...

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... Les fusionnistes obtiennent la majorité, de sorte que, le 3 février 1961, l’Assemblée législative de la province de Québec adopte donc le bill privé 126, « Loi constituant en corporation la Cité de Chomedey ». Tout n’est pas réglé pour autant. ...

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... Le gouvernement libéral de Jean Lesage est en faveur des fusions de municipalités, considérant que leur nombre est trop élevé au Québec. ...

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... Il faut unir nos forces : cela s’impose, car le regroupement des villes permet de se développer plus normalement et plus sainement. De toute façon, 1 600 municipalités, c’est trop pour le Québec. » Le ministre Pierre Laporte est du même avis. ...

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... . 8) La commission recommande qu’en principe la Loi des cités et des villes s’applique à la nouvelle ville, en y apportant des modifications et en tenant compte de la situation particulière de certains quartiers et des obligations contractées par certaines ...

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... Laval devrait servir d’exemple à d’autres municipalités : « Cela va devenir pour le reste de la province de Québec une espèce de symbole du désir réel, de la volonté du gouvernement actuel de voir à ce que le regroupement municipal ne soit pas seulement ...

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... Le vrai problème de l’île, c’est que les villes d’Outremont et de Westmount formaient des enclaves, échappant à la direction de la ville de Montréal. ...

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... 428 Histoire populaire du Qubec principales recommandations de la commission : « La formation d’un Conseil général de Montréal, comprenant 70 représentants des conseils municipaux de l’île, dont 46 pour la ville de Montréal, qui posséderait donc la ...

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... Pour l’historien gaspésien Jules Bélanger, l’opération se soldera par un échec, surtout à cause du fait que plusieurs aménagistes « étaient pour la plupart frais émoulus des universités du Québec et des États-Unis et ils avaient appris dans leurs livres ...