Il était une fois des draveurs

Il était une fois des draveurs

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... Vers 1760, à la fin du Régime français, les 80 000 habitants du Québec vivaient essentiellement de l’agriculture. Les femmes tissaient la laine et le lin. ...

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... Comme ces essences ne flottaient pas, les pièces de bois étaient équarries, empilées sur des radeaux aux dimensions parfois démesurées, puis convoyées vers Québec avant d’être chargées à bord de voiliers en partance pour l’Europe. ...

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... Le train de bois est prêt à partir vers Québec. Celui-ci est constitué de 70 cages. autres. Des tonneaux de bois vides et étanches, attachés sur le pourtour du radeau, aidaient à la flottaison et au maintien de l’équilibre. ...

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... Une cage en partance d’Ottawa permettait de livrer entre 2 000 et 2 400  pièces de pin blanc à Québec. Pendant un siècle, de mai à septembre, on vit des cages flotter sur le Saint-Laurent. On en dénombra plus de 2 000 à Québec en une seule année. ...

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... C’est en 1911 que la dernière cage arriva à Québec. ...

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... ., Description des cantons arpentés et des territoires explorés de la province de Québec, Québec, 1855. PERRON, Martin, L’Histoire de l’exploitation forestière dans la région de La Sarre en Abitibi, 1910-1980, édition limitée, 47 p. ...

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... Radio-Canada, « L’ héritage méconnu de la drave au Québec », reportage de F. Bussières-McNicoll. SAINT-PIERRE, Jacques, « Les intrépides hommes des cages », Cap-aux-Diamants, no 103, p. 16-20. ...

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... cet ouvrage est composé en arno pro corps 13 selon une maquette de pierre-louis cauchon et achevé d’imprimer en février 2022 sur les presses de l’imprimerie marquis au québec pour le compte de gilles herman éditeur à l’enseigne du septentrion ...