... De plus, les marchands hébergeaient les missionnaires aux postes de traite et, lorsque possible, leur prêtaient un local pour la conduite de leurs exercices religieux. Ils participaient aussi à la construction des chapelles. ...

Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
... Les Algonquins du secteur sont toutefois revenus au poste de traite dans les jours suivants pour y rencontrer les missionnaires. ...
... Le baptême des enfants de moins de sept ans était accordé automatiquement, après avoir obtenu le consentement des parents. 156. DUPUY, loc. cit., p. 41-42. 157. Ibid., p. 42. ...
... Le point culminant de cette première mission a été la plantation de la croix sur un promontoire derrière le poste de traite. ...
... La pratique d’enterrer des morts au pied de la croix s’est ensuite répandue chez les Algonquins, formant ainsi de petits cimetières catholiques algonquins à proximité des postes de traite. ...
... À cette époque, une population métissée était grandissante à proximité des postes de traite de la baie James et les pères de ces enfants, d’héritage chrétien, souhaitaient une instruction chrétienne pour leur descendance. ...
... Témiscamingue étaient sous la responsabilité des pères Moreau et Morin, tandis que celles du Grand lac et de Barrière (aussi appelé Mitcikanabikong, un endroit où se réunissaient déjà les Algonquins pour la pêche, mais où il n’y avait pas de poste de traite ...
... L’expression de la foi chrétienne ne semble pas avoir été importante pour le personnel des postes de traite avant l’arrivée des missionnaires et ni les catholiques ni les protestants ...
... Les employés des postes de traite canadiens-français servaient très souvent de parrains lors des baptêmes ou de témoins lors des mariages, surtout pendant les années d’introduction du catholicisme199. ...
... ., p. 196-197 ; MARCOTTE, Les francophones et la traite des fourrures du Grand Témiscamingue. Un dictionnaire biographique 1760-1870, op. cit., p. 68. 203. DUPUY, loc. cit., p. 34, 42. 204. ...