Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

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... Il est intéressant de remarquer qu’une pénitence semblable a été imposée à une femme à la mission de Sept-Îles, en 1849 : des membres de son groupe l’accusaient d’être une chamane anthropophage. ...

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... Ce n’est qu’à partir de ce moment que les femmes et les enfants se sont mis à s’attrouper à proximité du poste de traite en attendant le retour des voyageurs. ...

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... rituel et communautaire permanent, associé de près aux postes de traite. ...

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... Avec la tenue des missions aux postes de traite, l’espace du poste de traite a pris une nouvelle signification rituelle pour les Algonquins. ...

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... Missionnaires et traiteurs se comportaient tous les deux comme s’il était évident que l’espace autour des postes de traite appartenait à la Compagnie de la Baie d’Hudson. ...

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... 320 INITI ATI VES ET ADAPTATIONS ALGONQUINES AU X I X e SIÈCLE au Fort-Témiscamingue dans les années 1840, car il n’y avait alors pas de poste de traite sur le lac des Quinze449. Or, la famille des Forgerons n’était pas une famille ordinaire. ...

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... Il s’agit aussi du seul terme collectif pour le secteur qui ne semble pas associé à la présence d’un poste de traite et pour lequel il n’y avait pas de mission456. ...

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... Le deuxième cas dont parle ce missionnaire s’est déroulé à la baie James et n’est pas traité ici. ...

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... Ce petit avant-poste a été abandonné en 1883 au profit d’un poste de traite établi sur la Longue-Pointe, au lac des Quinze467. ...

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... L’espace autour des postes de traite a aussi revêtu une nouvelle signification rituelle importante par l’établissement de lieux de culte et de cimetières. ...