Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle

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... La moyenne de sept sépultures par année semble donc être représentative d’une mortalité plutôt faible à cet endroit, bien que sans aucun doute sous-représentative de la mortalité réelle152. ...

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... Ces naissances sont à contraster avec la moyenne de sept sépultures annuelles pour le même secteur. ...

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... En effet, bien que les Sœurs grises aient ouvert un hôpital dès leur arrivée au lac Témiscamingue, en 1866, les traitements se 161.  ...

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... Les Algonquins du lac Abitibi ont été vaccinés par le médecin accompagnant les commissaires responsables du Traité no 9, en 1905169. ...

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... Les Algonquins n’achetaient jamais de nourriture au poste de traite, mais obtenaient de la farine à l’occasion en cadeau, comme ration de voyageurs, lorsqu’ils logeaient à proximité du poste de traite ou encore en cas de famine. ...

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... Contrairement à la situation dépeinte dans le rapport de Laverlochère, la situation au poste de traite semble avoir été stable et ne montrait pas de déclin à ce moment177. ...

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... Sans doute leur mode de vie, associé de plus près au poste de traite, les empêchait-il de consacrer beaucoup de temps à la chasse. ...

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... Au cours du xixe siècle, le poste de traite est devenu un lieu de rassemblement important pour les Algonquins des environs. Ceux-ci installaient alors leurs tentes autours du poste. ...

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... L’usage des instruments de musique achetés au poste de traite est aussi attesté chez les Algonquins à cette époque189. ...

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... En 1878, le père Guéguen notait dans un rapport publié que les Algonquins de Kipawa ne se rendaient plus au poste de traite de Hunter’s Lodge, faute d’avoir des fourrures à échanger. ...