... Les Algonquins du lac Témiscamingue se présentaient seuls, à deux ou en petits groupes au poste de traite pour apporter leurs fourrures et obtenaient en échange d’autres biens qui ont été décrits précédemment. ...

Initiatives et adaptations algonquines au XIXe siècle
... John McLean, l’employé des postes de traite qui a écrit ses mémoires après avoir travaillé dans l’Outaouais méridionale, dépeignait la situation en cours au lac Témiscamingue comme si les employés du poste de traite avaient une certaine crainte des Algonquins ...
... sur cette question pour cette époque, mais il est remarquable que les vols de matériel en général ne soient plus rapportés après la fusion des compagnies rivales et par conséquent, après la fin des agissements musclés des employés des compagnies de traite ...
... Une unité MB correspondait à une belle peau de castor traitée ou son équivalent en autres fourrures. ...
... VES ET ADAPTATIONS ALGONQUINES AU X I X e SIÈCLE Ces cadeaux étaient donnés par les employés, lorsqu’ils partaient à la recherche des Algonquins dispersés, mais aussi par le maître de poste lorsque les chasseurs algonquins se présentaient au poste de traite ...
... Ces rencontres se faisaient donc un peu partout sur le territoire, plutôt qu’au seul poste de traite. ...
... Cette section tente donc de décrire le phénomène des capitaines de traite, puis d’observer s’il y a lieu, l’interaction avec les chefs héréditaires. ...
... Mayawabanwey fréquentait le poste de traite du lac Témiscamingue au début du xixe siècle, mais ne semblait recevoir aucun traitement particulier de la part du marchand à cette époque et ce n’est pas lui dont il est question lorsque le marchand parle du ...
... Au plus fort du phénomène, jusqu’à 3/4 des arrivages de chasseurs au poste de traite se faisaient avec un capitaine de traite. ...
... Cela suppose qu’un minimum de sept personnes et qu’un maximum de dix aient pu être reconnues par l’une ou l’autre compagnie et recevoir ces marques distinctives. ...