... Le chef de l’expédition française y trouve des lettres lui apprenant l’arrivée dans le fleuve d’une escadre anglaise qui vogue vers Québec. Les Français obliquent alors vers la baie des Chaleurs, où ils mouillent après avoir fait cinq autres prises. ...
La Cadie, frontière du Canada
... Un autre rapport de 1760 se révèle peu élogieux envers la flotte française enlisée dans la Ristigouche en la qualifiant de « trop paresseuse » pour se rendre à Québec. ...
... Au moment des prises, ces deux navires effectuaient le trajet Boston-Québec. Pour sa part, le 11 avril, le bateau Bons Enfants, sous le commandement du sieur Lung (Jung ?) ...
... Même les menaces anglaises ne les ont pas ébranlés, pas plus que le fait de savoir qu’ils ne recevraient plus de vivres de Québec… « ils persistèrent dans le même sentiment ». Ils étaient déterminés de mourir plutôt que de se rendre56. ...
... Les Acadiens écrivirent au gouverneur James Murray de Québec pour lui demander de les laisser à Miramichi. ...
... Le lendemain, le capitaine Allen, commandant de Marine, et le major Roderick Elliot, commandant de la troupe anglaise en provenance de Québec, détachent un garde de Marine au camp avancé français pour annoncer la capitulation de Montréal, en remettant ...
... Il s’était engagé à en effectuer la vente à Québec et les plaignants lui demandent un paiement de 1 521 livres en guise de compensation de leurs pertes74. ...
... Après la prise de Québec en 1759, ne pouvant plus communiquer avec le Canada, lui et d’autres Acadiens en viennent à signer un « traité de paix et de neutralité » avec les Anglais. ...
... Finalement, Jacques Balguerie, également de Bordeaux, a d’abord servi comme enseigne sur le Quatre Frères lors d’un voyage à Québec en 1759. ...
... Ainsi, en janvier 1775, Angélique Michaud, veuve et belle-sœur de Michel-Ignace Parisé « des îles de Caraquet », vend un emplacement de 26 pieds de front sur 50 de large situé sur la rue Sainte-Famille en haute-ville de Québec, à François Lacasse. ...