... Denys Delage, « Autochtones, Canadiens, Québécois », dans Laurier Turgeon et autres (dir.), Les espaces de l’identité, Québec, Presses de l’Université Laval, 1997, p. 281. 70. Ralph Pastore, « The Sixteenth Century. ...

La Cadie, frontière du Canada
... Ils demandent que l’on prohibe la vente d’eau-de-vie aux Amérindiens, comme à Québec. ...
... Québec dérive d’ailleurs du mot micmac gepèg qui signifie rétrécissement. Charles A. Martijn, « Gepèg (Québec) : un toponyme d’origine micmaque », RAQ, vol. XXI, no 3, 1991, p. 51-64. 91. Philip K. ...
... Comme nous l’avons mentionné auparavant, en 1642, des Micmacs de Miscou apportent des barils d’eau-de-vie à Tadoussac et à Québec. ...
... archéologiques confirment qu’au début du xviie siècle, et même avant, les Micmacs et les Etchemins deviennent des intermédiaires traitant des biens européens pour des fourrures sur tout le territoire s’étendant de la baie de Massachusetts à la Côte-Nord du Québec ...
... En 1642, les Jésuites dénoncent, comme on l’a déjà vu, le trafic d’alcool fait par les Micmacs à Tadoussac et à Québec. Un 105. Relations des Jésuites, 1645-1655, tome IV, Éditions du Jour, 1652, p. 13. 106. A.G. ...
... En 1643, la bourgade de Saint-Joseph à Sillery, à environ 8 km de Québec, compte de 35 à 40 familles de sauvages chrétiens sédentarisés, sauf durant la saison de la chasse. ...
... À preuve, ces Micmacs seraient déterminés à mettre un terme à leur mode de vie nomade pour cultiver la terre ; tout comme les Néophytes de Saint-Joseph près de Québec. ...
... Autant chez les Hurons que chez les Algonquins à Québec ou à Miscou, « les convertis manifestent dans leur pratique religieuse une intensité, un zèle, une ardeur peu commune ». ...
... Mgr de Saint-Vallier, évêque de Québec, L’Estat présent de l’Église de la colonie, op. cit., p. 45-46. 147. L’abbé H.-R. Casgrain, Les Sulpiciens et les prêtres des missions étrangères en Acadie, op. cit., p. 22. 148. A.G. ...