Mémorial de Canadiens français aux USA

Mémorial de Canadiens français aux USA

Page 184

... 184 Mémorial de Canadiens français aux USA s’employaient à la traite des fourrures et n’y effectuaient que de courts séjours. En 1748, on y comptait quelque 400 habitants. ...

Page 186

... 186 Mémorial de Canadiens français aux USA L’un de ses fils, Claude-Pierre Pécaudy* de Contrecœur, devait s’illustrer dans la vallée de l’Ohio pendant la guerre de Sept Ans. Côté, André, DBC, III : 547. PELLETIER, Wilfrid. ...

Page 187

... Lorsque la guerre de l’Indépendance des États-Unis éclate, la Nouvelle-France n’est devenue colonie britannique que depuis douze ans avec la signature du traité de Paris. Nombreux sont ceux qui espèrent une reconquête par la France. ...

Page 188

... Celui-ci exerça probablement une certaine influence sur son neveu, car Pépin devait se faire coureur de bois et traiteur de pelleteries. ...

Page 192

... Il atteint La NouvelleOrléans en juillet 1761 et y demeure jusqu’à la signature du traité de Paris, puis il rentre en France. ...

Page 193

... Sept ou huit ans plus tard, le gouverneur de la Nouvelle-France le délègue à New York pour y discuter des droits rattachés aux pêcheries maritimes. Il ne reviendra à Montréal qu’une vingtaine d’années plus tard. ...

Page 194

... Tous les écrivains qui se sont penchés sur le sort des Franco-Américains rendent unanimement hommage à ce personnage qui fut sept fois gouverneur du Rhode Island. ...

Page 197

... En 1815, il s’adonnait déjà à la traite des fourrures dans la région du cours supérieur de la rivière Arkansas, qui prend sa source dans les Rocheuses. ...

Page 198

... Ils se livrent à la traite des fourrures. Au printemps de 1659, la santé de Chouart laisse à désirer. ...

Page 199

... un important musée d’intérêt historique, mais Claude de Ramezay, né à Lagesse (Aube) et arrivé au Canada en 1685, dut, comme la plupart des officiers de son époque, faire montre de ses qualités de chef militaire et bonifier ses revenus au moyen de la traite ...